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Vous reprendrez bien encore un peu de Stephen King ? (seconde et dernière fournée)

Après les vampires, les cannibales

Après avoir livré mes impressions sur les œuvres : Doctor Sleep et L’Institut, de Stephen King, j’ai repensé à Holly ; un livre en attente depuis déjà un bon bout de temps dans ma “PAL”.1 Il était temps de passer à l’action.

Tout tournant les pages de titre, je me demandais si j’allais avoir confirmation des mauvaises impressions laissées par Doctor Sleep et L’Institut. Je songeais également que je n’avais pas le souvenir que S. K. ait abordé le cannibalisme aussi frontalement, ni même un tant soit peu dans son oeuvre. Si quelqu’un a plus d’informations sur le sujet, je suis preneuse, merci !

Pour les curieux, ci-dessous, la critique littéraire du livre sur « France Propagande »

Ce que je pense de cette « critique littéraire »

Rien, ou plutôt que cette critique supposément littéraire est une bouse. Du foutage de gueule. Quelques exemples ; voilà comment et ce qu’a compris Élise Lépine (la journaliste littéraire au Point) en faisant la lecture d’Holly :

  • […] ces deux tueurs grabataires, qui en fait mangent des gens pour retrouver une jeunesse sont complètement complotistes […]

  • […] fétichiste de Stephen King, je l'ai adoré quand j'étais adolescente […] pas seulement parce qu'il m'a porté des grands moments de lecture de frissons etc., mais aussi parce qu'il m'a apporté des clés pour affronter le monde […]

  • […] je trouve qu'il était en avance sur son temps parce qu'il nous disait qu'est-ce que c'est qu'être une femme dans un monde violent où les femmes sont les premières à souffrir des violences masculines qu'est-ce que c'est que s'assumer et rester forte face au harcèlement il brisait le tabou des règles il parlait de violence conjugale […] dans un monde qui est dur et moi ça m'a bouleversé ça m'a donné de la force et ça m'a donné une colonne vertébrale […]

  • Séquence : parler pour ne rien dire :

  • […] je pense qu'aujourd'hui une adolescente de 13 ou 14 ans qui va lire Holly ne trouvera peut-être pas cette lecture du monde qu'on avait dans la façon dont il allait vers l'extrême avec le gore avec la violence avec l'horreur là je trouve que

    son discours c'est comme s'il voulait se racheter de fautes qu'il n'avait pas commises, comme si d'un coup il disait je vais porter une morale alors qu'il la

    portait déjà dans la transgression il nous donnait déjà des clés […]

Bref, Holly est un bon livre, mais ce n’est pas le King auquel les fans sont habitués, avoue en substance Élise Lépine. Au fond, cet entretien est surtout l’occasion pour elle de parler de féminisme, de masculinité toxique, de casser toujours un peu plus de sucre sur le dos des “complotistes” (imaginez : c’est ce que sont ces deux vieux au bout du rouleau qui mangent de la chair humaine pour rester jeunes !) Le niveau intellectuel de cette tarte est sidérant. Et elle est “journaliste”. Quant à François Angelier, lui aussi “spécialiste” de littérature populaire, il n’ajoutera rien de notable à cette “critique littéraire”. Ces deux-là ont bavassé durant quinze minutes pour ne dire que des banalités. Rappelons-le : ils sont des spécialistes de la chose écrite, de la culture, ils sont journalistes littéraires. Peuchère…

Évidemment ces deux propagandistes patentés n’ont rien pu dire d’autre, puisque Holly ressemble à s’y méprendre à un livre de commande. La feuille de route : parler du Covid, de Trump, des anti-vax. Tout le reste n’est qu’habillage fictionnel : une héroïne un peu piquée (mais sympa), hypocondriaque et accro au tabac ; S.K a surfé là-dessus jusqu’à plus soif. Mais le GRAND sujet principal, c’était le cannibalisme. Parfaitement mis en scène, pratiqué par des personnes ordinaires (des gens comme Vouzémoi). Car ici, Papy et Mamie ne vont plus mourir à cause des bisous de leurs petits-enfants, puisque les rôles sont inversés : c’est Papy et Mamie qui tuent les enfants et qui les MANGENT. L’inversion est luciférienne. Mettre l’horreur en évidence, mais de manière douce, tout en égrenant les bienfaits supposés du cannibalisme. Dire, sans dire. La ritournelle des menteurs et des hypnotiseurs.

Le cœur du livre est au chapitre « 29 juillet 2021 »

Le premier paragraphe correspond à un saupoudrage de ce qu’il va advenir. La véritable entrée en scène de Monsieur et Madame Dingo a lieu au paragraphe sept. Le déchaînement de leur folie, et plus précisément celle du vieil homme, se déroule au paragraphe treize (un hasard, sûrement). Pour ma part, je l’ai trouvé spectaculaire. Du très bon boulot d’écrivain. Figurez-vous qu’il est si précis, que pour un peu, on aurait envie d’essayer le régime (je parle dans le cas d’un esprit faible, bien sûr). Pour compenser, l’auteur fait définitivement taire le fou par la main vengeresse de Holly, qui parvient à lui trancher la gorge… avec une boucle d’oreille. Voui. C’est “gore”, mais putain que c’est drôle (pardonnez mon langage décomplexé, mais, comme S.K., j’aime à croire que je touche – occasionnellement – une tranche de jeunes lecteurs) ; comme les millénials / milléniaux (la génération Y), qui sont particulièrement ciblés par les globalistes. Et que donc, avec eux, on ne cause pas comme avec les boomers ou la génération X (donc bienvenue à toi gamin, si tu es passé par là et que tu lis ces lignes !)

Évidemment, en toute fin d’ouvrage, comme à son habitude, l’auteur s’adresse à son lecteur. Il est votre pote, voyez-vous. Pour les informations sur le cannibalisme, il remercie la “merveilleuse Robin Furth”, qui a effectué toutes les recherches sur le sujet, et qui lui a “dispensé un cours complet sur le cannibalisme”. Bref, Robin Furth est sa “Déesse des Recherches”. Amen. Si tu l’écoutes, il n’a rien fait. C’est pas lui.

Dire sans dire. C’est quelque chose qu’ils font sans arrêt. En introduction, je vous ai relayé la séquence dégoûtante de Salma Hayek se repaissant d’un morceau de viande crue. Elle a posté ça en novembre 2024, sur son compte Instagram. C’est en réalité l’extrait d’un film de 2015 Tale of Tales, dans lequel elle tenait le rôle principal. L’idée manque d’originalité. Ce dont ils se fichent totalement, puisque c’est leur feuille de route et qu’ils la suivent aveuglément. C’est comme ça qu’ils implantent (entre autres) l’idée du cannibalisme dans l’esprit des gens, en en parlant souvent et de manière détournée. Manger des insectes fait partie de cet apprentissage. Ce n’est pas pour rien qu’ils se sont attaqués au codex alimentarius :

« Codex Alimentarius » signifie « règles alimentaires » en latin. L'organisation est née en 1962 lorsque l'ONU a créé la Commission du Codex Alimentarius (CAC) en tant que « Commission commerciale ». Il a été créé pour réglementer, et donc contrôler, tous les aspects de la production et de la vente des compléments alimentaires et nutritionnels au consommateur. Il ne s'agit que de commerce et des profits des multinationales. Source

Mais vous n’avez encore rien vu :

En juillet 2022, une nouvelle catégorie d'aliments sous « viande » a été présentée lors de la 53e session de la réunion du Comité du Codex sur les résidus de pesticides, avec plus de 360 ​​personnes présentes. Les nouveaux éléments de « viande » qu'ils aimeraient ajouter incluent :

• Chiens • Rats • Opossums • Capybaras • Kangourous • Wallabies • Cygnes • Lézards • Dauphins • Baleines

Comme l'a rapporté Scott Tips, dans ce même document, présenté par Sophie Brouwer des Pays-Bas, il a également révélé des catégories d'aliments pour insectes, tout en assurant à tous que « plusieurs stades des insectes et des araignées peuvent être consommés : œufs, chenilles, marionnettes et adultes. » Source

Apprendre à ne plus être dégoûté par ce qui est dégoûtant d’un point de vue civilisationnel : rats, araignées, lézards, dauphins… Imaginez : manger du dauphin, des êtres doués d’une intelligence si fine, qu’elle est d’une certaine manière supérieure à celle de l’être humain… Nous entraîner dans les bas-fonds de la barbarie, ils s’y emploient depuis des décennies. J’aborde le sujet dans plusieurs pages de mes blogues (Substack et Le Blogue) ; pour retrouver facilement ces articles, il suffit de taper “cannibalisme” dans n’importe quel moteur de recherche du blogue.

Pour en finir avec la sorcière Salma Hayek, sachez qu’elle est mariée avec François-Henri Pinault, l’un des hommes les plus riches de France (il dirige le groupe de luxe Kering (Gucci, Yves Saint Laurent, Balenciaga, Bottega Veneta, Creed) depuis 2005, et la société familiale Artémis (Kering, Château Latour, Christie's, Stade Rennais FC, Pinault Collection, Artémis Domaines, Ponant, Creative Artists Agency) depuis 2003 (Wikipédia). Vous ne serez pas surpris de découvrir le travail répugnant des frères Dinos et Jak Chapman est présent dans la Collection Pinault. Un article, ici, pour comprendre dans quel monde évoluent le sorcier et sa sorcière. François-Henri Pinault, c’est aussi Balenciaga, et toute l’ordure qui s’y rapporte.

Pour en finir avec Holly

Je vous fais part ici de deux petites citations que j’ai notées. Elles n’ont l’air de rien, mais comme il se dit sur les réseaux : Ceux qui savent, savent…

  1. « Trump est un goujat, mais également un sorcier »

  2. « Car Emily est le mâle alpha de leur relation [NDLR – couple hétérosexuel] »

Là, je pense que l’auteur nous livre des informations occultes. Pour vous mettre sur la voie, je vous propose d’écouter, dans ce court passage vidéo, ce que dit Joe Massot au sujet du mot “MAGA”

Le Temple de Set est un ordre initiatique de satanisme « séthianiste » est fondé par des membres dissidents de l'Église de Satan qui quittent cette organisation, en 1975, pour des différends administratifs et philosophiques avec son fondateur Anton Szandor LaVey, à la suite du militaire Michael Aquino.

Les renseignements sur le temple de Set sur la page française de Wikipédia sont squelettiques. Il faut aller sur la page anglaise pour avoir des renseignements conséquents. Il se trouve donc que le cinquième degré d’initiation pour être affilié à ce temple, est nommé : Magus / Maga (Sorcier - Sorcière)

MAGA. Le fameux “Maga”, un slogan recyclé à la sauce du jour, puisqu’il avait déjà été utilisé lors de la campagne de Ronald Reagan.

Il faut être quelque peu initié, et surtout, avoir l’esprit totalement ouvert2 pour envisager ce que pourrait potentiellement signifier cette image 👆, et saisir la signification occulte du slogan “MAGA”. Dans Holly, Stephen King dit de Trump qu’il est un sorcier (la MAGA en chef !), c’est ce que pense de Trump, Emily, le “mâle” alpha du couple Harris. Inversion. Pourquoi S. King n’a-t-il tout simplement pas écrit “qu’elle portait la culotte” ? De mon point de vue, l’expression “mâle alpha” donne une étrange connotation au texte. Les mots sont importants. Toujours. Je vous laisse réfléchir à ça. Pour vous donner un coup de main et avoir un commencement d’explication, voici une vidéo de Prune (calée sur le passage qui nous intéresse) ; je suis presque certaine qu’elle vous intriguera suffisamment pour que vous ayez envie de la visionner entièrement !

Pour ceux qui seraient intéressés par la carrière mafieuse de Ronald Reagan, un cow-boy en carton, mais un « personnage retors, aux relations troubles et à l'intelligence longtemps sous-estimée », selon la présentation du documentaire (une présentation dans le descriptif que je vous engage à lire)

Photo de gauche : Roy Cohn, le mentor de Donald J. Trump, serrant la main de Ronald W. Reagan, 40e président des États-Unis • Photo de droite : Donald J. Trump en compagnie de son mentor Roy Cohn.

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Merci d’avoir lu le Substack de Marguerite. Cette publication est publique, alors n’hésitez pas à la partager !

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1

PAL = Pile à lire

2

Je l’ai déjà dit : une fois qu’on a réalisé à quel niveau de mensonges et de manipulations psychologiques l’élite noire abreuve le monde depuis plusieurs siècles, rien ne doit être mis de côté ; pour vous en convaincre, il vous suffit de penser au voyage sur la Lune, qui n’a jamais eu lieu ; à l’assassinat de JFK, “mourru” par la faute d’une balle “magique” ; au 11 Septembre, jour effroyable, au cours duquel sept tours du World Trade Center (et non deux, comme beaucoup le croient encore en 2024 !) ont été littéralement “poussiérisées”, causant plus de trois mille morts ; et plus près de nous, à l’inimaginable escroquerie C0Vydesque de 2020, dont le nombre global de morts nous est encore inconnu. Sinon, que savez-vous de l’attaque à coup d’injections virales faites sur les soldats américains en 1918 ? Des vaccinations dont ils ne parlent JAMAIS, et qui ont provoqué ce qu’ils persistent d’appeler « La grippe espagnole » ? Je ne vais même pas argumenter sur la grande question de la Terre et de sa forme, c’est à chacun de faire ses recherches et d’évoluer avec elles au fur et à mesure de ses découvertes. Enquêtez, enquêtez, enquêtez !