Présentation de la vidéo :
« Les premiers pas d’Armstrong sur la Lune auraient-ils été tournés en studio ? William Karel livre un "documenteur" aussi drôle qu’incroyable qui questionne notre rapport à l'image
Le 20 juillet 1969, deux milliards de téléspectateurs sont devant le petit écran pour suivre en direct les premiers pas de l’homme sur la Lune. Ces images, devenues historiques, étaient-elles authentiques ? Une chose est sûre : en pleine guerre froide, les enjeux liés à la conquête spatiale n’autorisaient pas l’échec. Mais jusqu’à quel point le président Nixon était-il prêt à mentir pour donner le change ? En quoi le succès récent de "2001, l’odyssée de l’espace "de Stanley Kubrick a-t-il influé sur le cours des événements ? Et si le film du premier homme sur la Lune n’était qu’une superproduction hollywoodienne ? Tout au long de sa délirante enquête, William Karel avance des hypothèses en détournant les images. Des témoins de l’époque – Donald Rumsfeld, alors secrétaire d’État à la Défense, Henry Kissinger, conseiller du président pour la sécurité nationale, Richard Helms, ancien directeur de la CIA, Christiane Kubrick, la veuve du cinéaste, ou encore Buzz Aldrin, le coéquipier d’Armstrong – reconstituent une étonnante chronologie des faits. En parallèle, des comédiens endossent le rôle d’autres témoins et accréditent la thèse en question…
Tout commence par une anecdote puisée dans l’histoire du cinéma : pour tourner les images somptueuses de son film "Barry Lyndon", Stanley Kubrick se serait fait prêter par la Nasa un objectif de caméra unique au monde. Pour quels motifs l’Agence spatiale américaine aurait-elle accepté de confier ce matériel au cinéaste ? Quel marché aurait été conclu entre les deux parties ? À partir de là, William Karel reconstitue point par point… ce qui aurait pu devenir la plus incroyable mystification politique et scientifique du XXe siècle ! Ses commentaires précis et documentés, son montage habile et éloquent, et les témoignages de personnalités dignes de foi mêlés à des interviews données par des acteurs ne laissent place à aucun doute quant aux manipulations dont le monde entier aurait été la victime ébahie. Tous les éléments accréditant la thèse de la supercherie sont rassemblés devant les yeux incrédules du téléspectateur d’aujourd'hui, qui entend pour la première fois les "véritables" paroles d’Armstrong, apprend les "vraies" raisons de l’internement d’Aldrin en hôpital psychiatrique et découvre les causes "réelles" de la retraite définitive de Kubrick dans sa propriété ! Bref, fidèle aux leçons sur la polysémie des images d’un Chris Marker dans "Lettre de Sibérie", William Karel démontre en expert et avec une solide dose d’humour qu’une image d’actualité n’est rien sans les commentaires qui lui donnent sens… » Source
La stratégie du “dire” sans “dire”… L’une parmi les milliers de ruses que possèdent nos ennemis dans leurs profondes poches. Car quoi de mieux, en l’occurrence ici, que de réaliser un documentaire (astucieusement appelé « docuMENTEUR » dans lequel serait élaboré toute une narration où le vrai serait exposé comme étant du faux ? Rien ! Le camouflage est parfait. Sauf que le mensonge ne résiste pas à l’usure du temps. Car cinquante-sept ans plus tard, n’importe qui, qui est sain d’esprit, est capable de se rendre compte de la supercherie.
La duplicité se définit, de façon première, comme le caractère de ce qui est double. À cette notion de dédoublement peut également s’ajouter une notion de caractère feint, de dissimulation. Le cas échéant, la dissimulation est supposée s’appliquer à l’élément qui est pragmatiquement visé (le but ultime d’un acte de langage par exemple), contrastant ainsi avec le niveau « de surface », qui deviendrait, en fin de compte, secondaire. Suite et fin de l’article : Quand le dire se dédouble : duplicité énonciative et stratégies discursives associées
Les mots, mais aussi les gestes, les images…
Une photo de mademoiselle “Momotchi”, l’influenceuse à la voix douce, impeccablement posée, au visage presque angélique et qui fait battre les cœurs d’artichaut sur les réseaux sociaux. Sérieux, on a envie de l’aimer, cette petite… Sauf que cette photo 👇– qui s’est retrouvée sur le Net – confesse qu’elle est luciférienne. Ce qui nous fait penser que la miss est peut-être un agent de l’ennemi ayant pour mission d’embrouiller le péquin.
Se servir de la pièce accablante (la photo) pour en retourner le contenu à son avantage… Abracadabra ! Voilà ! Mais le message subliminal à deux niveaux est toujours là, sans équivoque. L’inversion systématique, à propos de tout, tout le temps, c’est la plus grande pratique des lucifériens.
Ici, même message subliminal…
Pour rigoler :
Mais comment ont-ils fait pour trimbaler tout ce matériel ? Quant aux questions d’ordre purement pratique du genre : comment ont-ils fait pour le pipi et le caca ? Une question pas aussi triviale qu’on pourrait le penser. Pour ceux qui veulent se payer un bonne tranche de rire, je leur recommande la vidéo de Prune : VOICI L'ESPACE ! Un feuilletage...
The best !
Trêve de plaisanteries, ci-dessous, je vous propose American Moon, la vidéo [VOSTFR & FR] de la grande enquête de Massimo Mazzucco sur la mystification du voyage sur la lune. Durée : 3:34:07
Source de la vidéo
Le meilleur pour la fin :
Le moment n’était-il pas historique ? Ces documents n’étaient-ils pas précieusement archivés, dupliqués, surveillés comme le lait sur le feu ? Ben non, les gars…
L’archive :
Le foutage de gueule ne s’arrête pas là
Comme tous les gros mensonges, pour tenter de faire oublier les erreurs de chronologie et d’incohérences, l’histoire est à tiroirs :
« Apollo 11 : la Nasa publie des vidéos HD... mais a perdu les originaux
Incroyable... Les séquences filmées par Armstrong et Aldrin lors de leur périple à la surface de la Lune ont bel et bien été perdues. Les bandes magnétiques... ont été réutilisées pour d'autre enregistrements. Mais tout n'est pas perdu puisque la Nasa a restauré les copies diffusées par les chaînes de télévision et qui, elles, n'ont pas égaré les copies. »
Et puis il y a toujours, tout au long des siècles, cet irrésistible désir de faire quelques billets au passage… Leur passion immodérée pour l’utilisation des symboles et celui de l’argent, de l’or, plus précisément, sera leur perte.
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