Olympiades cabalistiques
La cérémonie de clôture n'a pas dérogé à celle de l'ouverture (vidéo intégrale + analyses)
Les deux articles précédant celui-ci :
Les JO de Paris 2024 se sont ouverts sur la vision de trois enfants irrésistiblement attirés dans de lugubres tunnels ; ces jeux se referment sur un spectacle encore plus sinistre, plus énigmatique, d’où l’esprit des « Jeux » est définitivement et totalement absent. À moins que nous n’ayons pas compris qu’il était question d’une autre sorte de jeux (AVERTISSEMENT : fil de discussion pour personnes averties) dans laquelle nous serions les dupes.
Décryptages
JO de Paris 2024, cérémonie de clôture (Chaîne fawzikings)
Satanisme, c’est quoi le problème ?
Ci dessous, les événements à caractère satanique mentionnés dans la vidéo de Monsieur Asselineau :
Inauguration (vidéo) du Saint-Gothard (intégrale en deux parties) :
https://www.brighteon.com/8bbf500f-1b61-4bc0-8b96-70dee4d448e9
https://www.brighteon.com/15db109d-7d00-4c1d-a535-25c2276a9ba6
Mais aussi :
La cérémonie des Jeux Olympiques de Barcelone en 1992 (article plus vidéos) :
Sur le chiffre 11 et les JO de Londres 2012 :
Cérémonie de clôture des J.O. 2024 en intégralité
Cliquer sur l’image pour accéder à la vidéo :
Au fil du temps, que reste-t-il des Olympiades ?
Dans nos sociétés d’ultramoderne solitude, les champions, sitôt auréolés d’or, d’argent, ou de bronze, sont abandonnés comme une paire de chaussures usagées le long de la route du temps. La mémoire des masses est inversement proportionnelle à son volume. Tout au plus, retrouve-t-on occasionnellement les noms de ces hommes et femmes imprimés dans les pages d’une encyclopédie. Pour quelque temps, encore. Car le savoir, lui aussi de plus en plus virtualisé, glisse doucement dans le gouffre insondable de l’oubli. Dans le néant du rien du tout. Voilà pour le vivant. Pour la matière, idem. Passés les éblouissements des projecteurs, ne restent que les squelettes abandonnés de sites grandioses (vidéo documentaire très intéressante) et des dettes, des monceaux de dettes, remboursables avec l’argent public, évidemment. Vous savez, cet argent qui semble ne rien coûter, quasi gratuit si l’on suit le raisonnement d’une authentique feignasse de la République, d’un sans parole, je parle de l’ex-président François Hollande ; rappelez-vous cette vidéo où, sur une question de coût, il répondait au journaliste Gilles Bouleau : « C’est l’État qui paye » ; dans cette poignée de mot, on avait l’essentiel de l’esprit du socialisme de façade que ces voyous on servit et continuent de servir au peuple. Il n’a pas fallu bien longtemps aux Français pour voir les masques tomber et découvrir la voracité d’une toute petite caste déjà surnommée à l’époque, « la Gauche caviar ». C’était dans les années 80. En 2024, on est en mesure de constater que ledit socialisme (visage adouci du communisme, ou antichambre de celui-ci, comme l’on voudra) a détruit la France. Et que ses supposées élites se sont gavées à s’en faire péter la panse.