Olympiades de la honte
Propagande satanique : lavage, rinçage et essorage du cerveau humain à grande échelle
Blasphème, vulgarité, perversité, les trois mamelles du wokisme
Pour rédiger cet article, je me suis fadé la cérémonie d’ouverture dans son entier. Contrairement à des commentateurs qui avouent s’être régalés de quelques pièces du spectacle de Monsieur Thomas Jolly, j’avoue n’avoir aimé que l’illumination de la tour Eiffel, performée en toute fin de programme (03:29:51). Le reste étant trop woke.
Le spectacle s’appelle « Ça ira ». Pour nous rassurer, peut-être ? La représentation commence avec la vision de trois jeunes enfants jouant dans la rue. Comme Alice entraînée dans le terrier du lapin blanc, les trois mômes commencent à poursuivre la flamme olympique portée par un Zidane, qui passe opportunément par là. Arrivés dans un tunnel du Métropolitain soudainement dépourvu d’éclairage, le champion leur transmet le flambeau. Dès lors, les gamins vont commencer à déambuler dans le Paris souterrain. C’est sombre, c’est humide, l’eau des égouts s’écoule tel un visqueux serpent . C’est le royaume des rats. Puis il y a la traversée des catacombes, où les crânes blanchis semblent regarder sans aménité les troubles-repos. L’atmosphère est glauque. Une barque arrive. Elle emporte les enfants. On pense au fleuve Styx, au passeur Charon. Tout cela est lugubre, équivoque, et n’a définitivement rien à voir avec le sport. Le ton est donné. Nous sommes au cœur d’un spectacle créé par des esprits imprégnés de magie noire, de diableries, de choses sales et méchantes.
« Enchanté », le tableau suivant nous plonge dans une orgie de « rose Barbie » (costumes, fanions, banderoles, affiches), retour en enfance au pays des princesses et des châteaux. Pourquoi tout ce rose bonbon ? Peut-être pour introduire la prestation de l’invitée de « marque », annoncée à grand renfort de publicité ? La fameuse Lady Gaga, la marionnette MK-Ultra, artificiellement montée au pinacle de la célébrité depuis des années. Regarder le golem monstrueux de l’élite occulte descendre un escalier, façon cabaret, tatouée comme un camionneur (je n’ai rien contre les camionneurs, c’est une image) s’apparente à une farce. Tout en remuant du popotin, la Gaga nous assène un tonitruant « Mon trouc em ploum ». L’hommage est raté, le spectacle navrant. N’est pas Zizi Jeanmaire qui veut. Quand on pense qu’à l’Opéra Bastille, en 2000, à 96 ans ! son public l’acclamait à tout rompre ! Le mythe du « Paris Coquin » a été exploité jusqu’au bout du bout, avec un French cancan médiocre, assorti de commentaires d’une grande lourdeur pour évoquer la célèbre danse subversive. Bref, pour ce tableau, nous avons eu droit à tous les clichés visuels et musicaux liés à une époque désormais révolue, mais spécialement mise en scène pour gaver de rêve le futur touriste. Pigeon qui déchantera rapidement en mettant les pieds dans un Paris pourri par la saleté et l’insécurité, spectateur dupé d’une tragédie française liée à une immigration criminelle.
Tableau « La Liberté »
l’horreur est allée crescendo. C’est que la France judéo-maçonnique est fière comme Artaban, de sa révolution (dite Française). Fière de son sanglant coup d’État. Fière des milliers de têtes tombées sous sa dictature. Fière des rivières de sang qu’elle a littéralement fait couler. Et fière en 2024 de mettre en scène son plus haut fait d’arme : l’assassinat d’une femme coupable d’avoir été reine, et que la “Loge” voulait faire de sa mort un spectaculaire exemple. Il fallait marquer les esprits, répandre la terreur. Ce troisième tableau est une abjection. Il est aussi la preuve que les monstres d’alors sont toujours actifs, et que leur cruauté n’a pas diminué d’un poil. Le symbole de la tête coupée qui chante un « Ça ira » nous crache leur révolution malfaisante à la figure. Arnaud Upinsky nous transmet le texte original du “Carillon National”, détourné par la révolution, ce qu’il nous explique dans sa vidéo où il décrypte l’ouverture des JO 2024. Certains internautes ont vu dans la symbolique de la tête coupée de Marie-Antoinette la décapitation de Saint-Denis, assimilant ainsi la mort de la reine à la fin de la religion catholique en France. Ça se tient. Quand on sait par qui est arrivée la révolution dite “française”, passé et présent s’éclairent miraculeusement. Le choix également très symbolique de l’illustration sonore avec du “métal”, musique satanique par excellence, confirme l’idée. Qu’on le veuille ou non, le maître du mensonge et de l’illusion est partout dans ce spectacle. Ce tableau est une sorte de boucle temporelle qui se referme sur elle-même, annonçant ainsi une prochaine étape dans les projets globalistes.
Lors de la Révolution dite “française”, pourquoi croyez-vous que sa période la plus sombre fut appelée La Terreur ? C’est que les Français d’alors, proprement terrifiés par ce qu’il advenait dans leur vie (s’ils ne mourraient pas d’une mort violente sous les coups de la foule devenue folle), mourraient littéralement de peur. Pouvez-vous imaginer cela, mourir d’épouvante ? Et c’est cela, voyez-vous, que la France républicaine judéo-maçonnique fête chaque année, le 14 juillet. Je ne fêterai pas votre révolution.
En 1789, la population totale de la France se situait entre 25 et 26 millions d’habitants (dont 20 millions de paysans). Entre 1789 et 1796, le nombre de morts est évalué à environ 1 400 000. Sur Internet, les chiffres sont presque impossibles à trouver. La ou les causes ? Beaucoup d’archives ont brûlé lors des révolutions et des guerres. Mais il y a aussi la censure de ceux qui ont succédé aux “révolutionnaires”, et qui sont experts en bidonnage et autres manipulations de l’information. Il suffit d’observer ce qui se passe de nos jours : l’Histoire (petite et grande) se réécrit en direct, sous nos yeux aveugles ; réécriture subreptice des livres, le nettoyage d’Internet avec le concours de Wikipédia, cela, afin de faire advenir le monde auquel ils aspirent. Un monde sans goyim (Quézaco Goyim ? Cherchez !)
Informations sur la révolution dite “française” glanées çà et là :
Massacres de Septembre : 1395 morts • Vendéens / Chouans : 260 000 ; Bois de Beaurepaire (Poitou-Charentes) 300 femmes • Sur l’ensemble du territoire : de 520 000 à 650 000 • Guillotinés (Paris) 2795 • Guillotinés (Province) 42 000 • Morts violentes : hors-la-loi, rebelles, émigrés, déportés : 26 395 • Morts par canonnades : 1876 • Fusillés 2000 env. • Exécutés par noyades 14 800. Ces chiffres peuvent se comprendre pour la période de 1789 à 1795. Sites sources : ici • ici • ici • ici • ici • ici • Documentation (Racines & Histoire : PDF)
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C’est le tableau qui a le plus fait couler d’encre. Un blasphème visuel. Le chef-d’oeuvre de Léonard de Vinci, La Cène, illustrant le dernier repas de Jésus Christ, salement parodié par une bande d’abrutis. Des individus qui se prétendent artistes, mais qui ne sont que des marginaux sans foi ni loi. Tout ce petit monde a trouvé très drôle de singer les saints apôtres, en en faisant des drag queens. D’introduire dans la sainte Cène un danseur (étoilé, nous dit-on) homosexuel, ainsi qu’une petite fille (incarnant Judas Iscariote), vêtue de la couleur de la trahison. Tant qu’à y être, ils auraient pu mettre en scène les prêtres du peuple déicide. Montrer au public qui a comploté pour faire condamner et crucifier Jésus. Le tollé a été mondial et la « performance » a viré au scandale. Certains commentateurs ont parlé d’un suicide culturel en Mondovision. Quant à Arnaud A. Upinsky, lui, il y a vu un attentat culturel. Des pays ont même interrompu le programme en direct et diffusé une image figée en lieu et place des insanités. La bien-pensance, représentée par le journal L’ImMonde (subventions oligarchiques obligent) est instamment montée au créneau. Les « rageux » et les « peine-à-jouir » voyaient toujours le mal partout, crachaient-ils de tous leurs poumons. Étions-nous stupides ? Il ne s’agissait que l’interprétation de l’œuvre du hollandais Jan Harmensz van Bijlert, Le festin des Dieux ! Sauf que voilà, ce tableau est une représentation blasphématoire de la Cène. Fait aussitôt mis en évidence sur les réseaux sociaux. Et, n’en déplaise à la secte globale, nous avons été des centaines de millions à voir la même chose : un ignoble blasphème.
Sur ce fil de discussion, vous avez le détail du « beau monde » qui figurait autour d’un Christ représenté par une obsédée sexuelle obèse. Mais parlons de l’homme peint en bleu, façon Schtroumpf lubrique. Il s’agit de Philippe Katerine, pour ne pas le nommer. Le gaillard à poil était censé représenter Dionysos. Rendez-vous compte :
[le] Dieu de la fureur et de la subversion, son culte est également marqué par les fêtes orgiaques (Wikipédia)
Comme très souvent, Wikipédia édulcore, biaise, oublie, fait sa chochotte. Écoutons plutôt ce qu’explique l’essayiste et professeur de philosophie Luc Ferry sur la personnalité de Dionysos :
« Dionysos est le dieu de la folie […] Un dieu qui se déguise constamment en femme […] ces fêtes, les bacchanales sont des fêtes de la folie, de l’ivresse où l’on pratique des formes de sexualité et de sadisme totalement débridées, où l’on écartèle des petits animaux vivants et même des enfants vivants. » « Dionysos, c’est le chaos. » Source
Le message de la Cène, réinterprétée, était donc à double sens. Le premier s’adressait aux foules ignorantes. Indirectement, elle leur faisait comprendre que grâce à ce spectacle un palier était en train d’être franchi dans la transgression de la morale, des mœurs. Le second s’adressait aux initiés. Les connaisseurs, ceux qui pratiquent la religion païenne. La religion démoniaque. La religion des sacrifices humains. Peut-être cette information vous fera-t-elle réfléchir ? À ce stade, le spectacle commençant avec l’introduction des enfants dans les tunnels trouve tout sa pertinence.
Selon l'ancien espion américain Robert David Steele, huit millions d'enfants disparaissent chaque année dans le monde. HUIT millions. Et ce n'est à mon avis que la pointe de l'iceberg.
Le créateur du spectacle, un certain Thomas Jolly n’est pas seul dans cette aventure. Qui sont les commanditaires ? Et si on parlait de Philippe Katerine, le ridicule Dionysos-Schtroumpfisé. Qui est-il ? Un artiste clapotant dans les bas-fonds de la nullité, sans aucun doute. Cependant, malgré tout, pour avoir été sélectionné il doit avoir des qualités insoupçonnées du grand public.
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Voyons voir : pour commencer, ont peut avancer sans trop d’erreurs que Monsieur Philippe Katerine est quelqu’un qui n’est pas très bien dans sa tête. Notamment quand l’on constate, consterné, qu’il est littéralement obsédé par ses propres excréments ; au point de les collectionner. Ah, attendez, ce n’est pas tout ! C’est pire quand il dit (tout fiérot), avoir mangé de la chair humaine et que celle-ci a un « goût proche du cochon ». Je supputais de la propagande pour le cannibalisme. Ben voilà, j’ai ma réponse. Je m’évite de commenter plus avant pour ne pas tomber dans une épouvantable grossièreté.
Dans ce spectacle infernal, il y a aussi la rencontre et la formation d’un « trouple » (je ne sais plus dans quel tableau (c’est à 47:23, dans la vidéo), où il est clairement fait la promotion du « polyamour » (en Novlangue, sinon, on parle de partouze). Je rappelle que c’était un spectacle familial, diffusé dans le monde entier. Et donc, pour faire court, comment ne pas être étonné que de jeunes Africains, fraîchement débarqués de leur brousse natale, violent de jeunes européennes à tour de bras ? Ils ont vu au cinéma, à la télé, que les femmes blanches étaient “faciles”. Malgré les apparences, l’image de la femme n’a jamais été autant dégradée qu’en ce début de 21e siècle.
Vous êtes priés de la boucler !
Le long des six kilomètres du parcours des péniches, sur lesquelles les athlètes saluaient les spectateurs, s’égrenaient des portraits d’œuvres célèbres (conservées au Louvre) immergés à moitié visage : Sha Abbas avec un page (pédérastie) ; portrait d’une femme noire (BLM) ; relief de Séthi I et Hathor (tradition de l’inceste) ; Gabrielle d'Estrées et de sa sœur la duchesse de Villars (lesbianisme) ; La femme du Tricheur à l’as de carreau (le jeu). Un choix qui, comme on le voit, ne doit rien au hasard ; inclusivité et dépravation obligent.
des visages géants, partiellement immergés dans l’eau du fleuve, comme un rappel énigmatique de la menace de la montée des eaux. Source
Nous explique la journaliste du magazine Beaux Art. La pauvrette a dû se sérieusement se creuser la cervelle pour arriver à cette conclusion. Mais, que voulez-vous, il faut bien qu’elle justifie son salaire. D’ailleurs, pour sa défense, l’art est devenu tellement du grand n’importe quoi ces dernières décennies, qu’on peut lui accorder le bénéfice du doute. Peut-être croit-elle réellement à ce qu’elle écrit ?
Tout cela est bel et bon, sauf que le bas des visages immergés est, de facto, bouche close. Sourient-ils ? Ont-ils une moue de dégoût ? Un rictus de colère ? Non, ils sont muets. Muselés. Les tyrans ne veulent rien entendre. Ils nous masquent. Et pas seulement à l’époque du C0vid, mais depuis longtemps. C’est ce que disent les effigies du Louvre immergées : « Bouclez-la, bande de gueux » ! Une hypothèse qui en vaut une autre. Au reste, les créateurs du spectacle étant en permanence dans la violation des tabous, et donc dans le culte du secret, il est bien possible qu’ils aient symbolisé celui-ci dans leurs créations de manière tout à fait inconsciente. Les pratiques interdites appellent d’elles-mêmes le secret. Comme dans la franc-maçonnerie, où sa rupture équivaut à une condamnation à mort (la gorge tranchée ; geste furtif que l’on retrouve d’ailleurs dans la mise en scène de La Cène de ces JO diaboliques).
Hissé à l’envers
Avant d’allumer le flambeau pour officialiser l’ouverture des jeux, le drapeau olympique devait être hissé. Un cavalier d’argent a traversé la Seine, portant pour cape l’étendard des Jeux. Son parcours d’une dizaine de minutes l’emporte jusqu’au Trocadéro, où la foule l’acclame alors qu’on lui retire sa cape pour la monter sur un grand mât blanc... mais les anneaux olympiques étaient à l’envers.
Un drapeau à l’envers est reconnu dans plusieurs pays et dans le domaine maritime comme un signal de détresse ou de protestation, ce qui donne une symbolique particulière à ce faux pas. Source
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Enfin, il faut savoir, que le “replay” de la cérémonie (ou devrait-on dire : du rituel satanique) a été retiré ; peut-être est-ce la vision du cavalier blanc de l’Apocalypse, galopant sur les eaux noires de la Seine, qui en a été la cause ?
La cérémonie intégrale de l’ouverture des Jeux Olympiques 2024
Dernière minute
Je vous relaie cette récente vidéo où Marion Sigaut évoque la période de la Révolution française. Magistral !
L'excellent Nicolas Bouvier voulait que je parle de la Révolution à l'avant-veille du 14 juillet. J'aurais pu ne parler que de la prise de la Bastille, il y a de quoi occuper une soirée. Mais j'ai fait le choix de survoler les quarante ans qui séparent l'apparition des Lumières si mal nommées, et le déroulement du séisme appelé "Révolution française". J'y parle dette publique, police des grains, physiocratie, Lumières, Louis XV, Pompadour, Voltaire, Jésuites et jansénistes, Libéralisme, Necker, Indépendance américaine, Chaos, Taxation, Turgot, guerre des farines, Necker, Traité Eden Rayneval, Etats-généraux, Prise de la Bastille, garde nationale, Nuit du 4 août, Loi martiale, fin des corporations, Constitution civile du clergé, fuite de Varennes, Législatives, émeutes de la faim, la Marseillaise, manifeste de Brunswick, assaut des Tuileries, massacres de Septembre, Convention, Valmy, naissance de la République, insurrection vendéenne, populicide, valeurs de la République. Il est grand temps que les gens sachent, non ? • Marion Sigaut
Lien Odysee, au cas où YT ferait disparaître son intervention :
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