Présentation de “Doctor Sleep | Basé sur une histoire vraie” par son auteur : ODDtv
« Doctor Sleep de Stephen King est BEAUCOUP plus proche de la réalité que vous ne le pensez. Comme le dit le proverbe : la vérité est plus étrange que la fiction. Merci d'être venu sur ma chaîne. J'espère que vous apprécierez mon travail. Parfois, c'est ridicule le temps que je peux consacrer à une seule vidéo, mais j'essaie de la rendre la meilleure et la plus complète possible. » Source de la vidéo.
Et la formule “Youtube”, pour ceux qui souhaitent bénéficier du sous-titrage automatique en plus de la transcription Substack.
Au commencement
Tout d’abord, en 2013, il y a eu la lecture de Doctor Sleep. Une lecture qui m’avait laissé une impression d’étrangeté. Une sensation pas forcément due au genre de l’histoire. Je m’explique : certains passages avaient eu sur mon esprit un effet bizarre, comme un goût de “déjà lu”, ou de “déjà vu”, ou même de “déjà entendu”. L’impression m’avait troublée. Mais j’étais fan de S. King. Après tout, c’était de la fiction, n’est-ce pas ? Certes. Mais, je sais aussi pertinemment qu’il y a des moments où l’esprit, comme un animal effarouché, est incapable de franchir certaines frontières. Quand le déni fait son job, il ne le fait pas à moitié. Tout simplement. J’ai donc rangé tout ça dans un coin de mon foutoir mémoriel, et j’ai poursuivi mon chemin.
La mémoire, c’est bizarre. C’est là, sans être là. Je veux dire qu’il arrive qu’il y ait des situations qui resurgissent sans même avoir été expressément convoquées. Simplement parce quelque part, tout au fond de notre espace intérieur, une série de points s’est interconnectée, produisant ainsi une image, une idée nouvelle. Un eurêka ! de plus ou moins grande intensité. C’est ce qui m’est arrivé en 2021, après avoir terminé la lecture de L’Institut. J’ai soudainement réalisé que ce roman avait ranimé en moi l’impression diffuse, mais bien réelle, d’un inconfort psychique ressenti à l’époque de la lecture du Doctor Sleep. Ici non plus, quelque chose n’allait pas. Vraiment pas. C’était si déplaisant, que j’ai décidé de prendre des notes pour les examiner en profondeur. Il allait falloir mettre les mains dans le cambouis. Par la même occasion, j’ai également décidé de faire un retour dans le passé. Fouiner, creuser, décortiquer. Finalement, j’y ai trouvé cette vidéo sur ce fameux « Docteur Sommeil », et c’est à ce moment-là que j’ai réalisé que je n’étais pas seule à me poser des questions. Ça a été un réconfort. Je ne virais pas maboule-paranoïaque !
Donc, prendre des notes m’a permis de mettre en regard ce que j’avais lu avec des faits découverts ces dernières années pour en faire une synthèse. Comme cette étrange bannière, découverte au fil de mes pérégrinations qui m’avait fait une impression désagréable. Certes, elle promouvait un programme pour jeunes auteurs amateurs de frissons et chapeautait fièrement le compte Facebook dédié au programme “Dollar baby”initié par Stephen King lui-même. Sauf que ce petit œil bleu de poupée blonde au-dessus d’un billet de banque m’a envoyé un message que je n’ai pas aimé. L’idée n’était pas effrayante, je l’ai trouvée malsaine. À l’époque, sans savoir si j’en aurais une utilité quelconque, j’ai capturé cette image. Je pense très sincèrement qu’aujourd’hui, elle trouve toute sa place sur cette page Internet.
Un programme créé en 1982 qui consistait en une liste des œuvres de S. King dont les droits d’adaptation étaient disponibles pour seulement un dollar pour les étudiants en cinéma (ou théâtre) qui voulaient s’essayer sur une histoire de Stephen King. En contrepartie, les étudiants s’engageaient à ne jamais commercialiser ou distribuer le film. Source

Bref, l’effet « temps » avait frappé. L’explication est qu’en 2021, je n’étais plus la jeune personne qui découvrait en 1981 un auteur au hasard de l’étal des nouveautés d’une librairie. Quarante ans, ça vous tanne forcément le cuir et vous remplit la cervelle. J’avais besoin d’avoir sous les yeux l’ensemble des passages qui m’avaient fortement interrogé dans l’instant pour réfléchir à l’aise dessus.
Notes sur Doctor Sleep
« Voyons si j’ai bien compris. Ces gens ne sont pas des gens, ce sont… quoi ? Un genre de vampires ?
– En un sens, oui, je suppose. Ils ne dorment pas dans des cercueils le jour et ne se changent pas en chauves-souris la nuit, et je doute que les croix et les gousses d’ail les dérangent beaucoup, mais ce sont des parasites, et ils ne sont sûrement pas humains.
– Les êtres humains ne disparaissent pas quand ils meurent, dit John d’un ton catégorique.
– Vous avez réellement vu ça ?
– Nous l’avons vu. Tous les trois.
– Quoi qu’il en soit, dit Dan, ces Nœuds Vrais ne s’intéressent pas aux enfants ordinaires, rien qu’à ceux qui ont le Don.
– Des enfants comme Abra, dit Lucy.
– Oui. Ils les torturent avant de les tuer – pour purifier la vapeur, prétend Abra. Ça m’évoque les bouilleurs de cru clandestins distillant leur alcool au clair de lune.
– Ils veulent… l’inhaler », dit Lucy, tentant encore de se faire à cette idée. » (c’est moi qui souligne)
COMMENTAIRE : Donc, dans ces passages soulignés par moi-même, l’auteur explique que dans sa fiction, des personnes, supposément des prédateurs, enlèvent des enfants. Le fait que ces derniers soient “particuliers”, qu’ils aient un “don” n’est pas l’important, c’est juste un attribut décoratif pour habiller l’histoire. Comme un magicien, l’auteur exécute un tour de passe-passe pour distraire votre regard. Ce qui est important, c’est L’ENFANT.
Le point où mon mental a subi une torsion, c’est lorsque Lucy explique que les kidnappeurs torturent les enfants qu’ils ont enlevés, puis qui les tuent pour “inhaler” leur “vapeur” ; donc pour absorber leur dernier souffle, n’est-ce pas ? Leur âme… Vampires psychiques ? Vampires “tout court” ?
Monstres ? Démons ? Parasites ? Tout à coup, l’idée du « Dire sans dire » s’impose à mon esprit...
En 2013, je n’avais pas encore entendu parler de l’adrénochrome. Vous ne savez pas ce que c’est ? En quelques mots (âmes sensibles, sautez ce paragraphe, s’il vous plaît, et passez au paragraphe suivant, à la présentation du livre L’Institut) : ************************* l’adrénochrome est le sang adrénalisé d’un enfant après qu’il ait été torturé puis mis à mort ; ses restes, gorgés eux aussi d’adrénaline, sont consommés par les bourreaux. L’adrénochrome est une substance qui doit être comprise comme étant un élixir de jeunesse ; il a la faveur de la caste des ultra-riches, qui l’absorbe pour rester jeune. Faites vos propres recherches, restez sceptiques, ne prenez rien pour argent comptant, fouinez, décortiquez et sachez qu’il y a beaucoup de chausse-trappes ; pour débuter, et pour que vous n’alliiez pas vous fourvoyer n’importe où, je vous relaye cette page : Pédophilie & cannibalisme, les deux mamelles du satanisme ; elle peut être un point de départ pour vos recherches. Mais, je vous le répète : faites vos propres recherches, c’est important.
Pour les plus costauds, ceux qui ont le cœur bien accroché et qui en ont déjà vu de toutes les couleurs, il y a ce fil Twitter (X) (ATTENTION : c’est carrément dégueu’) :
https://x.com/RedpillDrifter/status/1773981261855654103
L’Institut (présentation)
Bienvenue à l'Institut.
Quand les enfants y entrent, ils n'en sortent plus.
Au cœur de la nuit, à Minneapolis, des intrus pénètrent
dans la maison de Luke Ellis, jeune surdoué de 12 ans, tuent ses parents et le kidnappent.
Luke se réveille à l'Institut, dans une chambre semblable à la sienne, sauf qu'elle n'a pas de fenêtre. Dans le couloir, d'autres portes cachent d'autres enfants, dotés comme lui de pouvoirs psychiques.
Que font-ils là ? Qu'attend-on d'eux ? Et pourquoi aucun de ces enfants ne cherche-t-il à s'enfuir ? Source
Notes sur L’Institut
« Le prédicateur participait à un barbecue en plein air et des guirlandes de fanions bleu-blanc-rouge ornaient les bâtiments derrière lui. Des gens mangeaient des beignets de saucisse et de grosses parts de pizza. »
« L’Arrière de l’Arrière – le Pavillon A, Gorky Park – était une longue pièce haute de plafond qui ressemblait, songeait Luke, à ces usines désaffectées où se déroulaient les fusillades à la fin des films d’action qu’il aimait regarder avec Rolf, il y a mille ans, quand il était encore un enfant, un vrai. Elle était éclairée par des tubes au néon grillagés qui projetaient des ombres et conféraient au décor une ambiance aquatique irréelle. Les fenêtres hautes et étroites étaient protégées par des grillages plus épais encore. Il n’y avait pas de lits, uniquement des matelas. Certains avaient été repoussés dans les allées, deux étaient retournés, un autre reposait mollement contre un mur de parpaings, semblable à un ivrogne. Maculé d’une substance jaunâtre qui était peut-être du vomi. Une longue rigole où coulait de l’eau longeait un des murs, sur lequel on avait inscrit, au pochoir : VOUS ÊTES DES SAUVEURS ! Une fille, totalement nue à l’exception d’une paire de chaussettes sales, était accroupie au-dessus de la rigole, mains sur les genoux. En train de déféquer. Un bruissement de tissu se produisit lorsque la blouse frotta contre le téléphone de Maureen, et l’image fut momentanément masquée. Quand elle réapparut, la fille s’éloignait d’une démarche titubante, et l’eau de la rigole emportait ses excréments. »
« Kalisha raccrocha le téléphone et continua d’avancer dans le couloir. Elle jeta un coup d’œil à l’intérieur de ce qui ressemblait à un salon dans un vieux film, puis d’une salle de bal. Le sol à damiers, noir et blanc, lui rappela Luke et Nick qui s’affrontaient aux échecs sur le terrain de jeux. »
« Et s’il y a d’autres chefs, pourquoi n’y aurait-il pas d’autres Instituts ? » « Une voiture pénétra sur le parking du motel, passa devant eux et disparut dans un clignement de feux arrière. Quand elle eut disparu, Luke reprit : « Celui du Maine, sur la côte Est, est peut-être le seul d’Amérique. Ou bien il en existe un sur la côte Ouest. Un peu comme des serre-livres, vous voyez ? Mais il y en a peut-être un en Grande-Bretagne… en Russie… en Inde… en Chine… en Allemagne… en Corée. C’est logique, quand on y réfléchit. »
« On ne va pas vraiment les sauver, hein ? Luke le regarda avec gravité. Avec son visage tuméfié, son oreille bandée, il ressemblait au plus inoffensif des enfants. Puis il sourit et, l’espace d’un instant, il n’eut plus rien d’inoffensif. Non. On va ramasser les morceaux. » (c’est moi qui souligne)
COMMENTAIRE : Comme expliqué en préambule, j’ai lu L’Institut en 2021. Et là, à cette époque, ça faisait un petit moment que j’avais commencé à explorer le terrier du lapin blanc. Je n’ai pas eu à forcer : c’était comme lire entre les lignes. Découvrir une histoire dans l’histoire ; d’où la prise de notes.
Premier paragraphe :
“Preacherman was standing in front of a fancy mansion where a party seemed to be going on. Preacherman was in a motorcade. Preacherman was at an outdoor barbecue and there was red, white, and blue bunting on the buildings behind him. People were eating corndogs and big slices of pizza.”
Dans un premier temps DeepL a traduit “corndog” par “beignets de saucisses, tandis que Google restait sur “corndog”; en vérité, c’est un “hot-dog” : une saucisse panée enfilée sur un bâton au lieu d’être servie dans un petit pain. Toutefois, j’ai relevé une information intéressante à propos du “corn”: selon la police fédérale australienne (AFP), qui a publié un glossaire des termes utilisés par certains prédateurs sexuels, elle indique que l’émoji du maïs peut également signifier un rapport avec le porno qui rime en anglais avec maïs (cornporn) ; un émoji qui aide à détourner les mots bannis sur les réseaux sociaux :
Donc, nous avons une belle demeure, une fête, des “corndogs” (hot-dogs) et des pizzas… Voilà, voilà, je vous laisse réfléchir aux images ci-dessous :
Agrandissement :
Deuxième paragraphe :
« L’arrière de l’arrière », par définition, cet énoncé se comprend comme quelque chose d’extrêmement caché. Comme ce qui se passe au sein de la franc-maçonnerie, dont les membres fraîchement initiés n’ont aucune idée de qui et/ou de quoi il s’agit dans les strates supérieures de l’organisation. Ça n’arrive pas souvent, mais l’on trouve des cadavres dans les placards de la franc-maçonnerie : voir ici et ici (vidéo). Le documentaire d’Alexandre Lebreton devrait vous éclairer suffisamment sur la question pour que vous puissiez vous faire une idée : (attention, contenu potentiellement perturbant ; durée 4 heures)
L’évocation de « L’arrière de l’arrière », m’a replongée dans des histoires de tunnels, un sujet que j’ai déjà traité. Et aussi à des articles qui me sont passés sous les yeux. Comme ceux qui alléguaient qu’il y avait bel et bien une vie souterraine. Toute une organisation parasociale se situant en des profondeurs où les humains sont traités comme des animaux ; que l’on fait se reproduire pour avoir toujours de la chair fraîche à disposition : pour l’exploitation sexuelle, le cannibalisme, la production d’adrénochrome. Des allégations, vous dis-je. Il n’empêche, des millions d’enfants disparaissent chaque année dans le monde. Et vous savez quoi, alors qu’il existe des statistiques sur tout et n’importe quoi, eh bien il n’y a rien sur le nombre d’enfants qui disparaissent chaque année. Rien. Que dalle. Nada. Suite à une émission L'info en questions #64, je m’étais mis en tête de trouver des chiffres. Et comme le Youtubeur ODDTV, qui ne parle que des États-Unis (à partir de 22:12), j’ai fait chou-blanc ou presque. Comme le dit très justement Karl Zéro :
« On est capable de dire combien de saumons remontent un fleuve, mais on n'est pas capable de dire combien d'enfants disparaissent, et ne réapparaissent pas. Je ne vous parle pas des fugues... »
De mon point de vue, il n’y a jamais de fumée sans feu. Mais je laisse à d’autres le soin de creuser aussi loin, de s’enfoncer aussi profondément dans le terrier du lapin. Je tiens à ma santé mentale. Les horreurs perpétrées sur cette Terre, celles qui sont visibles, suffisent à me convaincre que le pire est toujours possible. Ce que j’ai lu dans l’Institut, et que j’ai noté dans ce quatrième paragraphe, je l’ai immédiatement connecté avec ce qui m’était passé sous les yeux en parcourant l’Internet.
Troisième paragraphe :
Ici, je ne vais pas m’étendre, l’évocation des damiers noirs et blanc se suffit à elle-même. Pour ceux qui ne sont pas au fait de ce symbolisme, je les renvoie au documentaire d’Alexandre Lebreton sur la franc-maçonnerie, mentionné précédemment. Pensez-y : tout est connecté.
Quatrième paragraphe :
Ici, on parle de réseaux, possiblement reliés à un seul, qui pourrait être envisagé comme une sorte de maison-mère, l’antre des Ténèbres si vous préférez. Mais pour comprendre de quoi il est question, je vous invite à faire vos recherches ; le blog de la journaliste Ceri est un bon point de départ pour cela. Sinon, je vous propose un extrait de l’entretien qu’elle a eu récemment avec Ariane Bilheran ; un entretien que vous pouvez retrouver dans son intégralité dans le numéro #454 de l’Antipresse, une revue hebdomadaire fondée et dirigée par Slobodan Despot.
Extrait :
« Le réseau de chantage des carnets noirs d’Epstein, découvert 👇(la suite de la phrase)

Cinquième paragraphe :
« On va ramasser les morceaux. » Tous ces enfants, prisonniers de « L’Institut », qui ont été enlevés par on ne sait trop qui, et qui sont enfermés on ne sait trop où, ont tous été torturés et drogués pour subir une ‘Programmation mentale’ ; on parle ici de programmation MK-Ultra. Pour moi, en lisant ça, après tout ce que j’avais lu auparavant, il ne pouvait pas être question d’autre chose, si ce n’était que de programmation mentale à des fins de rituels. C’est quelque chose qui existe ; je vous enjoins à regarder les témoignages de ces personnes (hommes et femmes) qui ont eu à subir ces tortures. La programmation mentale disloque la personnalité d’un individu en plusieurs morceaux. Certains s’en sortent, d’autres pas. C’est une monstruosité.
Conclusion
Selon ma vision, le roman d’horreur L’Institut participe de la technique du « dire sans dire » utilisée par nos tyrans. C’est quelque chose qu’ils font depuis longtemps. Il s’agit pour les sorciers noirs de révéler au public non initié à quelle sauce il va être dévoré ; Icaros appelle cela « La révélation de la méthode ». Et précise à propos du Consentement qu’il existe une loi naturelle qui leur [aux sorciers, démons] coûte cher, si elles entravent notre libre arbitre. Ils devraient donc obtenir notre consentement, ou son équivalent le plus proche : une soumission inconsciente. La servitude volontaire n'est pas du tout une servitude (dans leur esprit). » Source
Quant à Richard Willett, il a une autre approche du “Consentement” :
Une fois qu’ils vous ont convaincu que vous êtes faible, vous devenez affaibli. Cela laisse la porte ouverte aux vampires [NDLR ou des démons] car ils doivent être invités. Ces entités ont besoin de votre consentement et la seule façon d'y parvenir est de vous faire croire que vous en avez besoin ! Source (anglais)
Dans tous les cas, comme dans le pacte avec le Diable, ces entités vous demandent de “signer”, car elles ont besoin de votre consentement. C’est la clé.
Certains me diront que tout ça n’est que hasard, ou coïncidence. En ce cas, je leur répondrais qu’en effet, s’il y a des hasards, ce qui est rare, et encore plus rare que deux coïncidences se produisent à la suite l’une de l’autre, alors je leur sortirais la citation :
Une fois, c'est un hasard. Deux fois, c'est une coïncidence. La troisième fois, c'est une action ennemie. (Goldfinger de Ian Fleming, chapitre 14)
Or, dans L’Institut, tous les points (suspicieux) que j’ai relevés ne sont pas de simples coïncidences. Surtout quand on les lit les uns à la suite des autres, regroupés, sans l’histoire pour les habiller, tous ces points se relient naturellement entre eux. Est-ce à dire que Stephen King, auteur prolifique d’histoires d’horreurs, en plus de son imaginaire, puiserait dans son expérience personnelle, dans son vécu pour les écrire ? Je n’en sais rien. Mais, ce que je sais, en revanche, c’est qu’un auteur, un écrivain de fiction, puise de manière consciente ou inconsciente dans ses souvenirs. L’écriture se construit avec la technique, mais aussi avec ce que l’on est, ce que l’on a vécu ; avec ce que l’esprit a absorbé et absorbe tout au long de toute une vie ; lectures, chansons, conversations, voyages, rencontres, etc., c’est infini. L’écrivain écrit avec tout ça, c’est de la matière, en y ajoutant son talent. Le petit plus qui fait que ce qu’il écrit le rend unique.
Dernier point, qui me vient au moment de terminer cet article à propos du titre. L’Institut… L’Institut… L’Institut… Depuis le début, il y avait quelque chose sur le seuil de ma conscience qui restait là, faisant mine d’entrer, mais qui ne bougeait pas. J’ai laissé faire, sans rien forcer. Parfois, je désespère de moi-même. Mais bon, c’est comme ça, quand ça ne veut pas, ça ne veut pas. Et puis c’est venu, sans crier gare. Ce matin, au réveil. Paf ! Pendant tout ce temps, à l’arrière-plan de ma conscience, c’était l’image du Tavistock Institut qui poussait. “L’Institut”, la machine à broyer les âmes, à pervertir les esprits, à déformer les consciences, à violer l’intégrité physique des personnes. Le bureau directorial du Grand Commandant en chef de toutes les Destructions. Je suis bien certaine que d’autres auront tout de suite compris ce que S. King exposait en filigrane. Mais, selon moi, quelque chose d’autre est engrammé dans ce récit. Quelque chose de très noir, très violent, très méchant. L’Institut dit sans dire, comme d’hab’.
Aujourd’hui, ces monstres ont encore franchi un pas dans leur volonté de dominer les êtres humains : la biotechnologie est leur arme de choix. Ils n’en ont jamais eue de meilleure, de plus performante ; avec elle, ils vont tenter prochainement de nous soumettre durablement. Puisse ne se produise jamais pareille insanité.
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