L'oxyde de graphène est-il toxique ?
À voir comment sont censurés ceux qui en parlent, on peut raisonnablement penser que oui, il est dangereux.
Depuis le 16 septembre, TwiXtter m’a de nouveau expédié à la cave. Évidemment, je ne sais pas pourquoi, juste que je n’ai pas dû relayer la bonne information, qui serait au choix :
Les Loubavitch
Un portrait peu flatteur du Trumpestiste en chef
Du graphène et des nanorobots (post programmé pour le 12 octobre) qui s’auto-assemblent (pour faire Dieu sait quoi !?)
De la CinqGé
Donc, je vais vous relayer ce qu’il m’a semblé intéressant sur le… graphène !
L’oxyde de graphène est-il toxique ?
La société EcoMundo est spécialisée dans :
Développement de logiciels
Technologies et services de l’information
Services de conseil en environnement (Source)
Sur son site, elle nous parle du potentiel de toxicité du graphène :
Des inquiétudes concernant l’oxyde de graphène ont incité les scientifiques à mener des recherches sur la toxicité de ce dernier. L’institut national de graphène de l’université de Manchester, a identifié au cours d’une étude sur des rongeurs, des variations au niveau de la toxicité de l’oxyde de graphène. Selon la largeur des feuilles d’oxyde de graphène, le potentiel de toxicité par inhalation n’est pas le même.
Et donc :
Les études ont montré que l’ADN s’endommage lors d’expositions répétées à doses élevées.
Oui, mais :
L’équipe a suggéré la prise en compte de ces résultats lors de la conception de matériaux bidimensionnels plus sûrs pour des applications commerciales.
Remarque : le graphène est un matériau bidimensionnel ; comment pourrait-il être plus “sûr” pour des applications commerciales ?
Cette toxicité se traduirait par la formation de granulome (petites zones d’inflammation) en présence d’oxyde de graphène de taille micrométrique (LGO).
Oui, mais :
Cependant, l’oxyde de graphène de taille nanométrique (USGO) ne présenterait pas de risque (les poumons des rongeurs récupèrent rapidement suite aux expositions à l’oxyde de graphène de taille nanométrique).
D’autre part :
La structure fine et légère du graphène est la principale source de l’inquiétude. Cette structure spécifique lui permettrait de :
Pénétrer facilement dans les poumons (menace similaire à de la poussière ou fibre d’amiante)
S’accrocher aux organes internes
En résumé, les propriétés de l’oxyde de graphène étant si particulières, que cela fait de lui un matériau innovant ayant une polyvalence chimique, et des propriétés électriques, optiques, thermiques, qui offre une « utilisation dans de nombreuses applications comme le revêtement. » Les plus futés d’entre vous auront compris que c’est ce qu’on appelle une « niche » et qu’il y a un pognon de dingue à se faire pour ceux qui sont dans la combine.
Quant au public, on lui explique que des études sont menées pour connaître « l’impact potentiel du graphène et de son oxyde sur la santé et l’environnement dans le cadre de l’Euon (Observatoire des nanomatériaux de l’Union européenne). » C’est un produit dangereux, mais nous faisons notre possible pour maîtriser la situation. Voilà donc ce cher public rassuré. Doublement, d’autant que leur « objectif est de rester transparent sur les informations concernant la sécurité et les marchés des nanomatériaux. » N’ayez crainte braves gens, on s’occupe de tout… Source (l’archive)
Comment éliminer l'oxyde de gra·phè·ne, détoxifier le corps ?
Comment éliminer cet ingrédient dangereux qui a été incorporé à ce qui a été appelé « vaccin » pour se prémunir soi-disant du Covid-19 ?
Publié dans The Exposé.com (ici) • (l’archive), cet article à été traduit par le site ProfessionGendarme (ici)
Une étude récente montre que des nanorobots auto-assemblés sont présents dans les injections contre le COVID-19.
Le rapport en question
Dans la version en anglais, j’ai relevé 22 occurrences.
La traduction du résumé :
Les blessures observables en temps réel au niveau cellulaire chez les receveurs des injectables COVID-19 « sûrs et efficaces » sont documentées ici pour la première fois avec la présentation d’une description et d’une analyse complètes des phénomènes observés. L’administration mondiale de ces produits souvent mandatés à partir de fin 2020 a déclenché une pléthore d’études indépendantes sur les thérapies géniques injectables à ARN modifié, notamment celles fabriquées par Pfizer et Moderna. Les analyses rapportées ici consistent en une « science de laboratoire » précise visant à comprendre pourquoi des blessures graves, débilitantes et prolongées (et de nombreux décès) se produisent de plus en plus sans aucun effet protecteur mesurable des produits commercialisés de manière agressive. Le contenu des injectables COVID-19 a été examiné sous un stéréomicroscope jusqu’à un grossissement de 400X. Des échantillons soigneusement conservés ont été cultivés dans une gamme de milieux distincts pour observer les relations de cause à effet immédiates et à long terme entre les injectables et les cellules vivantes dans des conditions soigneusement contrôlées. De telles recherches peuvent être tirées des conclusions raisonnables sur les blessures observées dans le monde entier depuis que les produits injectables ont été administrés à des milliards d'individus. En plus de la toxicité cellulaire, nos résultats révèlent de nombreuses entités artificielles visibles à auto-assemblage – de l’ordre de 3 à 4 x 106 par millilitre de produit injectable – allant d’environ 1 à 100 µm, ou plus, de nombreuses formes différentes. Il y avait des entités animées ressemblant à des vers, des disques, des chaînes, des spirales, des tubes, des structures à angle droit contenant d'autres entités artificielles en leur sein, et ainsi de suite. Tout cela dépasse largement tous les niveaux de contamination attendus et acceptables des injectables COVID-19, et les études d’incubation ont révélé l’auto-assemblage progressif de nombreuses structures artificielles. Au fur et à mesure que le temps avançait au cours de l'incubation, des structures simples à une et deux dimensions sur deux ou trois semaines sont devenues plus complexes en forme et en taille, se développant en entités stéréoscopiquement visibles en trois dimensions. Ils ressemblaient à des filaments, des rubans et des bandes de nanotubes de carbone, certains apparaissant comme des membranes transparentes, minces et plates, et d'autres comme des spirales tridimensionnelles et des chaînes de perles. Certains d’entre eux semblaient apparaître puis disparaître au fil du temps. Nos observations suggèrent la présence d’une sorte de nanotechnologie dans les injectables COVID-19.
Pour ma part, je reste basique : je n'en reviens pas que des milliards de gens se soient laissés empoisonner. J'ai beau chercher. On a beau essayer de m'expliquer. Comprends toujours pas ...
Thanks ¡
JHON CAMPBELL ESTUDIO DE JAPÓN Y COREA REVISADO POR PARES NANOTECH EN LAS "VACUNAS VIRAL
https://rumble.com/v5euyhp-jhon-campbell-estudio-de-japn-y-corea-revisado-por-pares-nanotech-en-las-va.html
Dr. Young Mi Lee from South Korea and Professor Daniel Broudy from Japan discuss their recent publication “Real-time self-assembly of artificial constructs visible by stereomicroscopy in incubated samples of mRNA products mainly from Pfizer and Moderna: a comprehensive longitudinal study” published in the International Journal of Vaccine Theory, Practice, and Research (IJVTPR). This is a scientific analysis of 54 vials of COVID-19 “vaccines” (45 Pfizer, 7 Moderna, 1 AstraZeneca, 1 Novavax) confirming the presence of “between 3 and 4 million self-assembling entities per milliliter” of the COVID-19 injections.
In this interview, Dr. Lee shares her experience and research findings over the past 3 years documenting self-assembly nanotechnology in the vials.
Dr. Young Mi Lee, MD, is a practicing physician at the Hanna Women's Clinic in the Republic of Korea (South Korea) and runs a specialized in in vitro fertilization laboratory. Daniel Broudy, PhD, is a professor of Rhetoric and Applied Linguistics at the Graduate School of Intercultural Communication at Okinawa Christian University. As a former image analyst for the United States Army, he draws on his military experience and doctoral training in psycholinguistics to develop courses on visual communication and rhetoric. His research focuses on mass manipulation systems and techniques in state and corporate public relations.
I leave this research here as another piece of this great puzzle of deception, which day by day, we must try to put together to get out of the Matrix.
📺 Video en Odysee:
https://odysee.com/@laquintacolumnainternational:7/LA-NICOTINA-puede-eliminar-la-Nanotecnolog%C3%ADa-de-las-Vacunas.:4
PULSE AQUÍ, para ver el video explicativo de La Quinta Columna y Rafa Calvin
https://www.laquintacolumna.info/translations/la-nicotina-puede-eliminar-la-nanotecnologia-de-las-vacunas/