Régulièrement, et surtout lors de la disparition massive d’enfants, l’hypothèse qu’il existerait des tunnels dans le monde, utilisés dans le cadre de la traite d’enfants, refait surface avec celui découvert récemment dans le quartier de Brooklyn. Les enfants sont des millions à disparaître, chaque année, mais, malgré l’évidence des chiffres, les autorités comme les médias aux ordres nous expliquent que ni les uns ni les autres n’existent. Pourtant, les hommes et les femmes qui, n’écoutant que leur courage, et croyant fermement à la justice décident de témoigner, se trouvent très souvent frappés par une mort soudaine : accident, suicide, maladie foudroyante, disparition inquiétante. À titre d’exemple, 30 personnes qui devaient témoigner dans l’affaire Dutroux sont mortes. Un exemple parmi tant et tant d’autres. Les réseaux n’existent pas, et donc, il n’y a rien à dire sur cette construction de l’imaginaire élaborée par des faibles d’esprit. C’est comme la franc-maçonnerie et ses multiples loges, penser qu’elle oeuvre secrètement à quelque complot est d’une bêtise infinie. Que ce soit bien clair : la franc-maçonnerie n’a pas de secrets. Circulez moutons, il n’y a rien à voir. La disparition des enfants de Maui, cet été, a aussi ravivé la théorie des tunnels.
Le fait est que depuis plus d’une décennie, le trafic d’êtres humains n’a cessé d’augmenter ; les jeunes femmes mais, ce sont surtout les enfants qui sont particulièrement ciblés (vidéo calée sur l’instant “T”). On estime aujourd’hui à HUIT MILLIONS le nombre d’enfants qui disparaissent chaque année. C’est le chiffre que révèle l’ancien espion américain Robert David Steele. Les enfants sont trafiqués pour leurs organes, exploités sexuellement, et/ou sacrifiés au cours de rituels sataniques. Au reste, l’idéologie sataniste (vue comme une religion par certains), en plein essor depuis des décennies. Et donc, il n’existerait pas de tunnels pour le trafic d’êtres humains ? Un “négoce” mille fois plus rentable que celui de la drogue ?
En tout cas, ce n’est pas ce que révèle le travail du Dr Richard Sauder, Ph.D. (Sa fiche Wikipédia) • Son livre Underground Bases And Tunnels What Is The Government Trying To Hide (Bases et tunnels souterrains : qu’est-ce que le gouvernement essaie de cacher ?) • Mieux, dans cette vidéo, il émet l’hypothèse (pas du tout saugrenue) que les gens qui rapportent avoir été enlevés par des “extra-terrestres” l’auraient été, en réalité, par le gouvernement américain. N’a-t-on pas retrouvé des “implants” de nature inconnue, dans le cerveau de personnes qui disaient avoir été enlevées par des extra-terrestres ? Le Docteur Roger K. Leir s’est intéressé à la question (vous remarquerez l’illustration parfaitement dégueulasse que Wikipédia a sélectionnée pour illustrer sa fiche ; histoire de bien rebuter le chaland) • Et une vidéo, où il intervient sur le patient « 17 »
Richard Sauder mène des recherches sur le sujet mystérieux des bases et tunnels souterrains et sous-marins secrets depuis 1992. Il est l'auteur de quatre livres précédents sur ces sujets et sur d'autres. Le Dr Sauder est diplômé en sociologie, en sciences politiques, en études latino-américaines et en foresterie. Il est originaire de Virginie et a vécu dans de nombreux États américains de la région médio-atlantique, du Sud et du Sud-Ouest. Il vit à Quito, en Équateur.
Avant de retourner dans le passé : jetons un bref coup d’œil sur l’actualité
Sous la synagogue
Le dernier fait divers en date où les tunnels sont revenus au-devant de la scène, est celui de la découverte d’un tunnel creusé sous la synagogue de Crown Heights, 770 Eastern Parkway, à Brooklyn ; synagogue de New York, qui sert de siège au mouvement juif orthodoxe Chabad-Loubavitch.
Dans cet article (PDF anglais) du Jewish Chronicle, le journaliste parle d’un : « petit groupe d’hommes, qui a “tenté” de percer un mur » Ben voyons…
En revanche, cet article-ci va vous donner une idée du degré de fanatisme de cette communauté, comme de la longueur et des dimensions du tunnel en question ; un encart TwiXtter vous permettra également de visionner un court extrait vidéo.
De fil en aiguille
« Ghislaine Maxwell bénéficie d’avantages spéciaux en prison grâce à une organisation liée au siège Chabad-Loubavitch.
L'été dernier, il a été rapporté que Ghislaine Maxwell profitait d'un traitement spécial réservé aux prisonniers juifs pendant son incarcération dans une prison fédérale. Le Sun a rapporté qu'une organisation juive appelée Reaching Out, qui défend les droits des prisonniers, a contacté Maxwell et lui a déclaré qu'elle était prête à lui offrir son aide.
Reaching Out, basé à New York, est un adepte du Rabbi Loubavitch, selon son site. La mission du groupe est d'aider les prisonniers juifs à faire face aux peurs et aux angoisses avant d'aller en prison, ainsi qu'aux obstacles rencontrés en prison. Un porte-parole de Reaching Out a déclaré au Sun : « Maxwell est en contact avec notre organisation. Nous avons répondu et continuerons de répondre à ses besoins. »
Maxwell obtient de la nourriture casher, qui est plus coûteuse, a accès à un rabbin et est dispensée de travailler pendant 25 heures à partir du coucher du soleil le vendredi pour observer le sabbat. Elle peut également faire une pause dans ses corvées en prison lors des fêtes juives. Elle a également droit au vin ou au jus de raisin associé et à la fraction du pain.
L’un des membres de l’équipe Reaching Out répertoriés sur leur site Web est le rabbin Yehuda Spritzer. Spritzer a étudié au siège de Chabad-Loubavitch, 770 Eastern Parkway, où les tunnels cachés ont été découverts la nuit dernière.
Le 10 décembre 2019, les sites Internet Chabad-Lubavitch et de la Fondation Clinton ont annoncé que des rabbins Chabad de la région d'Atlanta avaient été sélectionnés pour participer à un projet de la Fondation Clinton pour un séminaire de neuf séances de sensibilisation et de prévention sur les opioïdes destiné aux dirigeants interconfessionnels. Cette annonce intervient quelques mois seulement après l'arrestation puis le suicide de Jeffrey Epstein en 2019.
Epstein et Maxwell ont affirmé avoir contribué au lancement de la Fondation Clinton. » (c’est moi qui souligne)
Source : compte TwiXtter de Liz Crokin
De fil en aiguille (2)
Tunnels & Synagogues • Une vidéo de 9 minutes traduite par John Doe ; ne cherchez pas, ces images n’ont pas été relayées par les médias de masse ; en cours de rédaction de cet article, une autre vidéo du même compte Bitchute est publiée : elle est profondément choquante. Pour compenser ces ignominies, voici l’un des derniers témoignages du regretté Dr V. Zelenko. RIP.
« Trafic d'organes » : des rabbins arrêtés pour un réseau criminel massif (article en anglais)
Le rire indécent du Dr Bernard Kouchner (le porteur de sac de riz), lorsqu'il est questionné sur le trafic d'organes au Kosovo. Sauf que le rapport présenté au Parlement européen le 16 décembre 2011 sur le trafic d’organes au Kosovo est accablant. Le bon Dr Kouchner n’était pas au courant ; tout comme il n’était pas au courant que son fils de treize ans, qui vivait avec sa mère et son beau-père, se faisait violer par le beau-père en question, un certain Olivier Duhamel. Et, comble du sordide, Évelyne Pisier, la mère (totalement indigne) préféra garder le silence pour protéger son époux, paraît-il.
« Olivier Duhamel, un homme doté d’une surface sociale comme Paris sait si bien en faire émerger. A 70 ans, le constitutionnaliste règne sur la Fondation nationale des sciences politiques (FNSP), qui finance Sciences Po et dont le conseil d’administration est l’un des lieux d’influence les plus verrouillés du monde universitaire. Ni vraiment militant ni pur mandarin, il est l’auteur d’un ouvrage potassé par des milliers d’étudiants en droit « constit », La Gauche et la Ve République (son sujet de thèse, publié aux PUF en 1980), et préside Le Siècle, ce club prestigieux – et très masculin – où se retrouve l’élite française. » Source
Et ces gens-là se pensent autorisés à nous faire la morale. Par ailleurs, vous devez vous souvenir que dans l’île orgiaque de Jeffrey Epstein, le copain de Ghislaine Maxwelle, il y avait des tunnels… Et voilà, la boucle est bouclée pour cette première partie.
L’Affaire de l’école maternelle McMartin
Je me suis intéressée à l’affaire McMartin bien avant de prendre conscience qu’il y avait une vraie question concernant l’existence de tunnels liés au trafic d’êtres humains. Depuis, et ce que j’ai observé au fil du temps, comme vous-mêmes allez le constater, les tunnels sont immanquablement un fantasme, une ineptie. Ils n’existent pas. Les enfants ont rêvé. D’ailleurs, ils souffrent du syndrome du « faux souvenir » ; une pathologie inventée par un pédomane, un certain Richard A. Garder.
« [Gardner] déclarait que les activités sexuelles entre les adultes et les enfants feraient « partie du répertoire naturel de l’activité sexuelle humaine » (Gardner, "True and False Accusations", note 27, 24) et que la sexualité entre adultes et enfants serait une pratique constructive du point de vue de la procréation, la pédophilie permettant selon lui de « charger à bloc » l’enfant, le rendant « hyper sexualisé » et ainsi plus enclin à rechercher des expériences sexuelles qui stimuleront la procréation. » Source
Tunnels : le cas de la maternelle McMartin aux États-Unis
Ci-après, je vous relaie le début d’un très long article, paru sur AgoraVox, en 2012. Article que vous pouvez également “lire”au format audio 👇 :
Début :
L’affaire débute en août 1983, quand Judy Johnson, une mère de famille appelle la police. Elle pense que son fils de trois ans a été violé dans son école maternelle, la McMartin preschool. Une enquête démarre. Et bizarrement, si 90% de la population locale était convaincue de la réalité des abus sexuels sur les enfants de cette maternelle (et d’autres), les médias, à 90% au moins, défendaient la thèse inverse.
On va commencer par la version officielle.
Version officielle : RAS
La version officielle veut que Judy Johnson soit mentalement dérangée, alcoolique et suicidaire. Ça tombe bien : Judy Johnson est décédée prématurément, à cause de l’alcool auquel elle était allergique, alors que le procès était toujours en cours. » Suite et fin.
L'une des controverses dans cette affaire a été l’existence de tunnels et de salles cachés sous l’école. Les démystificateurs ont finalement réussi à classer cela dans le domaine de la « théorie du complot fou ». Rien de nouveau sous le soleil. La pédocratie veille, et elle est puissante.
Mais les faits sont têtus, comme on dit. Le rapport déclassifié de l’enquête du F.B.I. prouve que les tunnels ont bel et bien existé. Les pages 48 et 49 indiquent que des tunnels ont été trouvés à l'école maternelle McMartin, ainsi que des pentagrammes et des os. Voir le descriptif ci-dessous.

Il faut noter que, lorsqu’ils en ont la possibilité, les criminels s’arrangent toujours pour faire combler ces tunnels, assurant ainsi la destruction de toutes les preuves. Le tunnel découvert récemment sous la synagogue à Brooklyn a rapidement été comblé avec du ciment. Jeffrey Epstein s’est allégé de cent mille dollars pour que soient comblés les sous-sols de son île diabolique. Les tunnels de l’école maternelle n’ont pas échappé au processus. Malgré tout, les archéologues ont pu retrouver :
L'archéologue a trouvé une petite assiette en plastique blanc avec trois pentagrammes dessinés à la main sur de la peinture vert clair. Les pentagrammes ont été dessinés à la main par un adulte et ne font pas partie de la conception du fabricant • Il n'y avait pas de poignée de porte sur la porte de la classe 3, seulement une serrure à pêne dormant • Chaque salle de classe était équipée d'un interrupteur portant la mention “Alarme incendie”. Le système n'était pas relié à la caserne des pompiers, mais servait d'alerte au sein de l'école • Plus de 2000 objets ont été trouvés sous le sol de l'école, dont plus de 100 ossements d'animaux.

Quoi de mieux que des “jouets” pour “acclimater” des petits enfants à “jouer” dans des tunnels ? On nous a tous appris, quand nous étions enfants, à ne jamais accepter de bonbons ou de sucreries de la part d’étrangers ; mais personne n’apprend à ses enfants à se méfier de ce qui se trouve à l’école, de ce que dit ou fait le maître ou la maîtresse.
Au début des années 1980, Elizabeth Cioffi, 2 ans, était l'une des nombreuses élèves fréquentant la prestigieuse école maternelle McMartin à Manhattan Beach, en Californie. Selon le père d’Elizabeth, John Cioffi, l’école était appréciée des parents et jouissait « d’une très bonne réputation dans la communauté ».
Ainsi, lorsque John et sa femme, Marymae Cioffi, ont reçu une lettre de la police de Manhattan Beach avertissant les familles d'abus sexuels potentiels ayant lieu à l'école maternelle McMartin, ils ont été complètement sous le choc.
Avec près de 400 autres étudiants, anciens et actuels, Elizabeth a été interrogée au Children’s Institute International, une organisation locale à but non lucratif qui fournit des services sociaux, au sujet des abus sexuels présumés.
«Je me souviens avoir été interviewé à CII et je me souviens avoir parlé d'expériences qui s'étaient produites. Ce n’est pas comme si je me souvenais simplement des mauvaises choses – il y avait de bonnes choses dont je me souvenais », a déclaré Elizabeth lors d’une conversation avec les producteurs de « Uncovered ». « Je me souviens avoir joué… et puis j'ai des flashs de certains des souvenirs pas si agréables quand il n'y avait que moi et Ray Buckey. » Elizabeth a également décrit avoir joué au jeu « Naked Movie Star », au cours duquel elle était « obligée de se tenir devant des gens et de se faire prendre en photo alors qu'elle était nue ».
Bien qu’il soit « facile de discréditer les histoires » d’un enfant en bas âge, Elizabeth a déclaré à « Uncovered » qu’elle « sait qu’elle a été agressée ». « Nous n’avons pas eu l’occasion de riposter », a déclaré Elizabeth. « Ils étaient bien plus gros que nous. » Source
Tunnels, tunnels, tunnels…
« C'est un tunnel aussi long que 6 terrains de football, sans oublier, l'éclairage et le système de ventilation […] découvert au Mexique. Il servait au trafic de drogue. […] Il y a aussi une installation électrique pour l’éclairage et même un système de ventilation pour éviter que le narcotrafiquant meure asphyxié.
Le tunnel hors norme est à 18 mètres de profondeur. […] En 30 ans, les services antidrogue américains ont démantelé 90 tunnels rien que dans cette partie de la Californie. » Source
« Dans les villes principales des États-Unis d'Amérique, l'un des pays les plus prospères du monde entier, des milliers de personnes sans logement vivent dans des tunnels en dessous des rues. Une information qui ne courre pas les rues, mais vraie de vraie. »
Tunnels, encore et encore
Pour terminer, je vous relaie deux articles publiés sur mon ancien blogue au moment de la crise sanitaire. À cette époque-là, il a beaucoup été question de tunnels, et d’enfants qui y étaient prisonniers. Très naïvement, j’ai cru à l’époque que D. Trump ferait le ménage ; qu’il nettoierait le marais, comme cela se disait. Qu’il mettrait un grand coup de pied dans la fourmilière… Quelle idiote ! Aujourd’hui, je me demande si l’homme n’est pas l’autre face de la même pièce qui fait le malheur de l’humanité.
L'armée américaine a-t-elle délivré des milliers d'enfants enfermés dans des tunnels par des trafiquants d'êtres humains ? Voir ici et ici.
Pourquoi cette image ?

Beurk ! Très peu de monde est capable de résister à ses pulsions une fois lâché dans le vaste monde adulte. Des individus tordus qui dérivent selon leurs valeurs tordues. Quand ils en ont.
Sans limites ni barrières.