Les grandes manœuvres de l'Organisation mondiale de la santé
Élaboration d'un nouveau traité international. And, what else?
Le 29 mars 2021, Le Monde annonçait la réunion de vingt-six chefs d’État et de gouvernement, avec le directeur de l’O.M.S.
« Le 1er décembre 2021, les membres de l'Organisation mondiale de la santé (O.M.S.) se sont mis d'accord pour lancer le processus d'élaboration et de négociation d'une convention, d'un accord ou d'un autre instrument international en vertu de la constitution de l'Organisation mondiale de la santé afin de renforcer la prévention des pandémies et la préparation et la riposte à celles‑ci. »
L’heure était grave : la terrible ‘pandémie’ provoquée par un mystérieux virus sorti de nulle part – le Covid-19 – a contraint ceux qui se présentent comme les élites du monde, à réfléchir à l’élaboration d’un nouveau traité international pour la santé. Mais aussi pour la démocratie, la liberté, l’égalité, le climat, etc. Alléluia !
« La pandémie de Covid-19 nous a rappelé brutalement et dans la douleur que nul n’est en sécurité tant que tout le monde ne l’est pas. » (!)
Quelle « pandémie » ? Quel « Covid-19 » ? Est-il nécessaire de rappeler que depuis 1999, l’O.M.S. a changé trois fois la définition de ce qu’il est convenu d’appeler une pandémie ? À vérifier dans le rapport du Sénat du 29 juillet 2010, aux pages 46 (pour 1999), et 47 (pour 2005 et 2009). Quant au Sars-CoV-2, il n’a jamais été isolé. En revanche, ce qu’ils ne disent pas, c’est que « le Covid-19 est une arme biologique tout droit sortie des labos américains. » Mais je digresse, poursuivons.
En clair, avec ce ‘nouveau’ traité, l’O.M.S. aura droit, littéralement, de vie et de mort sur des milliards de personnes. Et, à la lumière ce qu’il s’est passé ces trois dernières années, je crois que nous sommes en droit d’être très inquiets. Mais, encore une fois, aura-t-on la possibilité de formuler notre inquiétude ? Ou, comme à l’ordinaire, serons-nous traités de complotistes ? Alors que la grande majorité des journalistes, devenus de véritables professionnels du mensonge, passent leur temps à modifier, ou pire, à occulter l’information ? Comme dans cet encart du journal Sud Ouest International, où Tedros Adhanom Ghebreyesus est présenté comme « docteur en santé communautaire » ; dès lors qu’elle est livrée telle quelle, l’information induit l’esprit naïf à ne pas se rendre compte qu’être titulaire d’un doctorat ne veut pas dire qu’on est médecin ; c’est un abus de langage. Mais bon, les médias de masse n’en sont plus à un traficotage près.
L’O.M.S. est-elle réellement un observatoire de la santé ?
Elle l’a peut-être été à ses débuts, quand les ploutocrates devaient faire profil bas. Ce n’est plus le cas en 2023, puisqu’aujourd’hui, l’Organisation mondiale de la santé est entièrement entre les mains des mondialistes, ou globalistes, ou technocrates, ou ploutocrates, au choix, comme vous voudrez (tyrans leur va aussi très bien), qui la finance presque intégralement.
Voici, dans le désordre, quelques-uns de leurs organismes prétendument philanthropiques : les Fondations Bill & Melinda Gates, Clinton, Rockefeller (entre autres), la World Bank, les grandes universités (Harvard, Imperial college, King’ College), les grands labos pharmaceutiques, la Commission européenne, l’Open Society, le Rotary et Lions’s club, etc. Tout le gratin du gros argent mondial se trouve dans la liste de ceux qui participent au financement de l’O.M.S. Je vous laisse voir ça par vous-même ; le lien d’accès est sous l’illustration :
Sauf que voilà, ce financement n’est plus possible, c’est pas bien ! C’est mal, très mal ! Ce n’est pas moi qui le dit, mais l’O.M.S. herself.
(c’est moi qui souligne) :
De nombreux experts ont mis en évidence le fait que le modèle de financement actuel de l’O.M.S. présentait un risque pour l’intégrité et l’indépendance des activités de l’Organisation. La forte dépendance de l’O.M.S. à l’égard des contributions volontaires, dont une grande partie est affectée à des domaines de travail spécifiques, entraîne un décalage […] L’objectif est d’atteindre 50 % du budget de l’O.M.S. d’ici 2028-2029 si possible, et d’ici 2030-2031 au plus tard, par rapport au pourcentage actuel de 16 % en 2020-2021. […]
Le Directeur général de l’O.M.S., le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus, a déclaré : « Cette décision répond de front au défi que l’O.M.S. a dû relever depuis des décennies en matière de financement prévisible, souple et durable. La réalisation de la cible dont ils ont convenu aujourd’hui signifiera que nos États membres donneront à l’O.M.S. les moyens de répondre à leurs attentes et de remplir véritablement notre mandat en tant que principale autorité mondiale dans le domaine de santé. » […]
Je vous laisse le soin de lire le communiqué dans son intégralité.
De qui se moquent-ils ?
C’est seulement maintenant, que des « experts » se rendent compte que « le modèle de financement actuel de l’O.M.S. présentait un risque pour l’intégrité et l’indépendance des activités de l’Organisation. » ? Sans rire ?
Par communiqué de presse, le 24 mai 2022 , l’Organisation mondiale de la santé confirmait son projet :
L’Assemblée mondiale de la Santé adopte une décision historique en faveur d’un financement durable de l’O.M.S.
Pour ma part, quand je lis « financement durable », cela me fait très peur. Durable, inclusif, responsable, équitable, les mots étendards du mondialisme me flanquent la pétoche. On croirait un slogan totalitaire ; comme le « Liberté, égalité, fraternité (ou la mort) », scandé par les révolutionnaires en 1789 – à l’usage, faut voir où nous ont menés ces trois mots qui, ensemble, étaient une arnaque sémantique.
La Révolution française s'est déroulée au nom d'un slogan intrinsèquement contradictoire et irréalisable : liberté, égalité, fraternité. Mais dans la vie sociale, liberté et égalité tendent à s'exclure mutuellement, sont antagonique l'une de l'autre ! La liberté détruit l'égalité sociale - c'est même là un des rôles de la liberté -, tandis que l'égalité restreint la liberté, car, autrement, on ne saurait y atteindre. Quant à la fraternité, elle n'est pas de leur famille. Ce n'est qu'un aventureux ajout au slogan et ce ne sont pas des dispositions sociales qui peuvent faire la véritable fraternité. Elle est d'ordre spirituel. Au surplus, à ce slogan ternaire, on ajoutait sur le ton de la menace : « ou la mort», ce qui en détruisait toute la signification. Discours prononcé par Alexandre Soljenitsyne, 25/09/93, aux Lucs-sur-Boulogne. Ici
Donc, il faut réformer l’O.M.S., décision qui intervient quasiment simultanément avec les réformes envisagées pour réformer l’Union européenne. Moi, citoyenne lambda, je vois un gigantesque coup d’État mondial fomenté par la ploutocratie ; et je gage que ce ne sont pas des réformes qui seront faites pour le bien commun, mais plutôt l’inverse. Ces réformes, c’est le Great Reset de Klaus Schwab. Une révolution qui ne dit pas son nom, mais qui, si elle parvient à éclore, fera un nombre de victimes bien supérieur à celui des grandes révolutions ‘russe’, ‘chinoise’, ‘cambodgienne’, ‘vietnamienne’ réuni. Le communisme – comme le socialisme – est un cancer mortel pour l’humanité.
L’O.M.S. aura droit de vie et de mort sur les peuples du monde
Qui a déclenché la panique de la pandémie de 2020 ?
Auprès de quel organisme les gouvernements du monde entier ont-ils pris leurs décisions sanitaires (enfermement, masques, tests PCR, etc.) ?
Qui a décidé, dans un premier temps, de laisser les frontières ouvertes (où était la logique !) ?
Qui, expliquait aux populations, en avril 2020, par la voix de l'un de ses représentants, le Dr Michael Ryan, « que maintenant que la contagion était éradiquée des rues, il allait falloir aller dans les familles pour récupérer ceux qui sont malades afin de les isoler dans un endroit sûr et digne » (vidéo) ; croyez-vous avoir encore une quelconque autorité sur vos enfants (vidéo), sur leur éducation, sur les soins à leur prodiguer, etc. ? Le communisme, et le socialisme considèrent que les enfants leur appartiennent ; c’est simplement qu’ils ne le disent pas ouvertement, comme cette cruche aux U.S.A., ou cette autre cruche, en France, qui a dit : « Les enfants n'appartiennent pas à leurs parents » ; oui, mais non, je ne l’ai pas dit… VTFF.
Réponse : c’est l’Organisation mondiale de la santé…
À moins que ça ne soit le philantro-capitaliste Billy The voracious, qui fait parler ses milliards à travers les multiples bouches de l’O.M.S. qu’il contrôle, à commencer par celle de Tedros ? Faut-il rappeler que la philanthropie n’a rien à voir avec la charité, vertu théologale chrétienne ?
Et, aujourd’hui, il faudrait faire confiance à ces renards ? Leur abandonner les clés du poulailler ?
De vrais experts, pas de ceux qui pérorent sur les plateaux de télévision, exposent les graves dangers de cette réforme. Francis Boyle, l’un d’entre eux, le dit très clairement lors de l’entretien (vidéo) qu’il a eu le 23 février 2023, avec Xavier Azalbert, le patron de France-Soir :
Le Traité sur les pandémies de l’O.M.S. instaurera un État mondial, policier, médical et scientifique
Cela ne peut pas être plus clair.
« Francis Boyle est professeur de droit international à l’Université de l’Illinois. Il est auteur du “Biological Weapons Anti-Terrorism Act” de 1989, une loi américaine mettant en œuvre la Convention sur les armes biologiques de 1972. Dans ce nouveau “Debriefing”, Francis Boyle alerte contre les amendements du Règlement sanitaire international (RSI), et contre le Traité sur les pandémies de l'Organisation mondiale de la santé (O.M.S). » Ici
Il y a également d’autres experts qui sonnent le tocsin dans l’article du The Defender (version française) :
Citations :
M. Roguski, qui a effectué des recherches approfondies sur les deux propositions, a récemment écrit sur son blog que la « version zéro » du traité sur la pandémie « existe bel et bien », mais qu’il s’agit également d’un « leurre habilement conçu » destiné à détourner l’attention des amendements proposés au RSI. Il a qualifié ces amendements – que le groupe de travail de l’O.M.S. sur les amendements au Règlement sanitaire international (2005) a examinés du 20 au 24 février – de « danger clair et présent ».
Selon Reclaim the Net, l’O.M.S., par le biais des amendements proposés au RSI, « s’efforce d’étendre considérablement ses pouvoirs de surveillance », notamment en exigeant des États qu’ils mettent en place des réseaux de surveillance collaborative. L’agence de santé non élue souhaite également avoir une influence accrue sur le ciblage de la « désinformation » et de la mauvaise information » via les amendements proposés.
Selon le Brownstone Institute, les amendements proposés « élargiraient les définitions des pandémies, y compris l’introduction de la notion de « potentiel » de préjudice plutôt que de préjudice réel » et feraient passer les recommandations du RSI pour les États « de non contraignantes à obligatoires ». Le directeur général de l’O.M.S. serait habilité à « déclarer de manière indépendante les situations d’urgence », et accorderait à l’O.M.S. « le contrôle de certaines ressources du pays ». [NDLR – Quant à ce dernier point, ceci vous donnera une idée de ce qu’ils sont capables.]
Et sur NTD (New Tang Dynasty)
Trevor Loudon, chercheur et animateur de Counterpunch, n'hésite pas à évoquer, comme Francis Boyle : 1) les possibles implications de la Chine dans l'affaire du Covid, 2) la proximité de Tedros A. Ghebreyesus avec le parti communiste chinois, 3) et l'implication de Susan Michie, fonctionnaire de l'O.M.S. et membre du Parti communiste de Grande-Bretagne, qui est, en outre, la « présidente du Groupe consultatif technique (TAG / Technical Advisory Group) de l'O.M.S. sur les connaissances et les sciences comportementales pour la santé. La mission déclarée du TAG consiste à "concevoir et mettre en œuvre des politiques et des programmes de santé nationaux fondés sur les connaissances et les sciences du comportement". »
Fin des citations
Tedros Adhanom Ghebreyesus
Qui est-il, réellement ? Réponse dans cette vidéo • Transcription intégrale en français dans ce PDF
Le fait est que dès le début de la crise sanitaire, l’Occident s’est aligné comme un seul homme sur le modèle chinois. Et que depuis 2020, à une ou deux exceptions près, tous les gouvernants de l’Union européenne poussent pour le QR code, le passe sanitaire, le port du masque, la vaccination, la reconnaissance faciale, le revenu universel de base, la suppression de l’argent liquide ; tout en pratiquant, comme en Chine, une censure jamais connue en Europe. Et puis, quand il ne sera plus question de santé, c’est le climat qui sera en cause.
Alors, je pose la question : ai-je tort ou raison de m’inquiéter ? De penser qu’une association de voyous s’est emparée des plus grandes institutions/organisations du monde, dont celle de la santé, et qu’elle est à l’oeuvre pour piller tout ce qui peut l’être ? Et pire, pour réduire la population mondiale qu’ils jugent, tels les dieux omnipotents qu’ils s’imaginent être, dévastatrice ? Tout cela, sous nos yeux hypnotisés ?
Pensez-y :
Quand t'es à mi-chemin de ta vie, il faut surveiller le cancer du sein. Plus tard, quand t'es vieux, c'est le cancer du côlon qu'il faut surveiller. Ce monde est une horreur.
En fait, du berceau à la tombe, notre société subit un harcèlement médical constant.