Le cadavre de mamie Gertrude ne sera pas composté, mais « humusé »
Il arrive de plus en plus souvent que la fenêtre d'Overtone s'ouvre et se referme. Opération « Great Reset » oblige...
Les globalistes nous inventent une nouvelle manière de voir, de faire, de penser en changeant les mots, les inversant, leur donnant une connotation qu’ils n’ont pas habituellement. Ici, la manœuvre consiste à vous parler du compostage de corps humains de manière à ce que vous ne soyez pas choqués.
Une « humusation » qui, selon eux, pourrait devenir nécessaire du fait de la problématique du climat, et de la surpopulation humaine (toute relative) qui en découle, encore une fois, selon eux.
Pour la faim dans le monde,
Les dingos en chef du globalisme, je veux parler de Bill Gates et de Klaus Schwab, ont décidé de changer notre régime alimentaire en nous enfonçant dans le crâne que les insectes, c'est délicieux et nourrissant. J'ai récemment traité le sujet de la nouvelle nourriture dans cet article. Sans omettre que d'autres fêlés du bocal ont ouvert une autre piste peu ragoûtante depuis très longtemps : celle du cannibalisme :
La question du sang jeune dans Le meilleur des mondes, d'Aldous Huxley
Quand Attali nous explique que : « La civilisation religieuse est une mise en scène du cannibalisme. »
Il y a quelques années, un Suédois, Magnus Soderlund, professeur de la Stockholm School of Economisc, avait suggéré, lors d'une émission de télévision locale consacrée à un événement sur « l'alimentation du futur », qu'il pourrait être nécessaire, pour sauver notre planète menacée par le changement climatique, de recourir au cannibalisme.
Ces quelques exemples illustrent bien le concept de la « Fenêtre d'Overton » ; le sujet n'est pas tabou, puisque la presse en parle, puisque des hommes influents en parlent, puisque de grands écrivains l'évoquent.
Pour ce qui est des morts,
Nous avons, là aussi, des fracassés de l'âme. Des êtres qui n'ont pas ou plus de croyances spirituelles ; dont l'âme s'est égarée quelque part dans l'immensité du vide provoqué par la course éperdue au matérialisme. Je ne parle même pas de foi, ou de Dieu, non, juste de la perte de l'amour de la Vie ; de ce qui nous entoure, et qui est profondément mystérieux et grandiose.
La mort, c'est encore et toujours une belle occasion de business, n'est-ce pas ? Comme celui de Susanne Wiigh-Mäsak, ou l'un des fameux "Américains", dont il est question dans le tweet ci-dessous.
Récemment, le député Élodie Jacquier-Laforge annonçait dans un communiqué de presse qu'elle venait de déposer une proposition de loi sur l'humusation.
Idiote-utile ou collaboratrice consciente du mondialisme, en tout cas, on la sent fière d'avoir eu l'occasion d'ouvrir encore un peu plus la fameuse fenêtre. Elle n'est pas le première ni la dernière.
Novlangue oblige, le cadavre de mamie Gertrude ne sera pas composté, mais il sera « humusé »
Je m'étais intéressée, il y a quelques années de cela, au texte de l'ethnologue Élisabeth Gessat-Anstett, Les funérailles «bio». La mort et les idéologies environnementales au XXIe siècle, paru en 2015 dans la revue Communication (97). Un texte de 15 pages, qui détaille les nouvelles techniques mortuaires du 21e siècle et leur contexte historique, économique, idéologique. Lisant ces quelques pages, on comprend que la mort est devenue un problème pour nos sociétés occidentales déshumanisées. Que faire de ce « cadavre » ? Et puis d'ailleurs, merde, pourquoi crève-t-on, à la fin ? Et puis bien sûr, encore et toujours, l'auteur évoque la question onusienne, lancinante : l'inclusion correcte à l'environnement ; et elle termine son exposé par une remarque sur l'expansion du marché funéraire. Évidemment. What else?
Notre époque se résume à un mot, un seul : POGNON.
Sur le fil de commentaire du compte Twitter de notre député, j'ai lu un post que j'aurais pu écrire :
L'humanité se fait incinérer ou inhumer depuis la nuit des temps, mais là, maintenant ce n'est plus bien. Mieux : c'est mal, c'est anti écologique, ça pollue, ça contamine, ça coûte cher... Cher ? Mais, comme l'avoue le communicant dans la FAQ sur le site (section combien ça coûte ?) :
« Il est vraisemblable que ce sera légèrement plus cher que l’inhumation et la crémation puisqu’il y aura plus de main d’œuvre…. mais la légalisation de l’Humusation va permettre la création de nombreux emplois (non délocalisables !) pour les humusateurs certifiés. »
L'humusation, explications : infographie • La FAQ (qui vaut son pesant de cacahuètes et dont certains argumentaires sont vraiment débectant). Comme ici :
Remarque : « Là vous allez trop loin ! C’est complètement inhumain. Respectez avec décence la vie, le passage sur terre et surtout les familles… »
Réponse : « Ce sont plutôt les 2 seules pratiques funéraires légales qui, malgré tout le « décorum » et l’argent dépensé par les familles, manquent totalement de respect pour les défunts. Les enterrer profondément ou les incinérer, n'est-ce pas ce qu’on fait aussi avec nos immondices… ? »
Immondice toi-même, sale con.
La technique de ces malades : insulter, culpabiliser, mépriser. Ces gens sont fous. Et s'ils ne le sont pas, alors c'est pire, puisque ça voudrait dire qu'ils ont perdu leur âme sur les routes du mondialisme (attention, vidéo choquante). Un mondialisme qui n'a que faire des rites, de la culture, de l'histoire des peuples, des pays. De la Vie. Une idéologie qui imprime à l'être les pires comportements qui soient : comme celui d'utiliser le ventre d'une femme dans le coma pour pallier au manque de mères porteuses. C'est un cauchemar.
« Les rites funéraires semblent être un fondement du passage à la civilisation. Ainsi, c’est dès lors que des communautés se sont formées que des rites funéraires sont apparus. » Source
Pour ces âmes errantes, ne reste que la matière. Dès lors, on peut comprendre qu'elles soient terrifiées par la mort.