« Intelligence artificielle » l'abus de langage est leur signature
Pour mieux nous aveugler, pour mieux nous tromper, pour mieux nous encager, ils trafiquent, ils manipulent, ils inversent, ils déguisent le sens des mots
Ce qu’ils appellent « Intelligence artificielle” est tout, sauf de l’intelligence, puisque celle-ci est une spécificité du vivant. Créer la confusion mentale en énonçant des paradoxes, et/ou en changeant la signification des mots, c’est ce que font systématiquement ceux qui manipulent l’information, la science, la connaissance en général ; les mêmes qui se prennent pour les élites de ce monde (écoutez les explications d’Arnaud Upinsky sur la question (14 minutes très éclairantes !)
Le 22 mars 2023, une lettre ouverte signée par de grands noms de la recherche en « intelligence artificielle » ; le plus connu du grand public parmi les signataires étant Elon Musk. Le même gars qui pousse au transhumanisme, et qui vient de décrocher l’autorisation de la FDA pour commencer des essais d’implants cérébraux connectés sur des humains. Apparemment, l’information ne provoque pas de dissonance cognitive chez les « journalistes ». Tout va bien, braves gens, continuez de dormir.
Peu après le 1er mai 2023, Geoffrey Hinton, le « parrain de l'intelligence artificielle » révélait au New York Times qu’il quittait Google afin d’avoir la liberté de mettre le monde en garde sur les dangers à venir de « l’intelligence artificielle ». L’homme n’est pas un novice, il sait de quoi il parle ; pendant un demi-siècle, il a nourri la technologie au cœur des chatbots comme ChatGPT. On pourrait imaginer qu’à ce jour, Geoffrey Hinton est dans la même position que le père de la bombe atomique, Robert Oppenheimer. Sauf que ce ne sont pas tant les inventions qui posent problème, que les mains entre lesquelles elles tombent ; donnez une boîte d’allumettes à un enfant, et attendez de voir ce qui va se passer. Mettez ChatGPT Bing entre les mains de Microsoft, et attendez de voir ce qui va se passer.
L'évolution rapide de l'I.A., nous dit-on, permet de composer de la musique, de rédiger des essais, voire écrire des romans ou n’importe quelle création écrite, d’imiter la voix humaine, de dessiner ; tout cela très rapidement, et plutôt bien (sauf quand la machine se trompe, et qu’elle raconte de grosses conneries). La belle affaire…
Outre un monde inondé par de fausses images, ou des textes qui seraient tout droit sortis d’une « imagination artificielle », ou même des suppressions d’emplois massives, ce que redoute Geoffrey Hinton, c’est la possibilité que l’I.A. se débarrasse de l’humain quand elle commencera à écrire et exécuter son propre code. Il explique également, lors d’une entrevue :
« certaines personnes croyaient que cette chose pourrait réellement devenir plus intelligente que les gens, mais la plupart pensaient que ce serait lointain ». Lui-même pensait que cela ne se produirait que dans 30 à 50 ans. « De toute évidence, je ne pense plus cela ». Source
Des mots, des paroles, encore et toujours. Que cette machine sache produire des textes, de la musique, des images, ou bien que par sa « faute », des millions d’emplois sont en passe d’être supprimés n’est pas le fait le plus important ; de toute façon, avec 13 milliards de doses de vaccin Covid-19 administrées dans le monde, selon le site Our World in data (concerne toutes les doses, y compris les rappels), la distribution des emplois ne sera plus le problème. Les morts subites, les turbo-cancer, les blessures graves témoignent d’eux-mêmes du désastre humanitaire se jouant actuellement ; comme au Pérou, qui est en état d’urgence suite à une explosion de cas du syndrome de Guillain-Barré dans la population. Toujours selon Our World in data, ils sont pratiquement 90 millions de Péruviens à avoir reçu l’injection expérimentale ; le Pérou totalise 31 914 989 habitants ; le compte est vite fait. Des sportifs de haut niveau du monde entier tombent foudroyés ; des informations proprement censurées par Google :
Et l’hécatombe ne se limite pas au sport, puisque l’on voit, lors de concert, des fans faire des crises cardiaques et autres malaises. Et puis il y a tout ce qui n’apparaît pas, parce que dissimulé par la presse aux ordres, mais il faut savoir que d’une manière générale il y a une augmentation alarmante de « morts subites ».
La dépopulation est amorcée, et elle est en cours.
Non, le vrai danger, c’est ce qui va arriver à ceux qui vont rester. Aux survivants. À ceux qui se laisseront pucer comme des animaux ; dès lors, ils pourront être cornaqués par des machines sans âme. Il n’y aura jamais eu, depuis que le monde est monde, une telle forme d’esclavage. Pour les septiques, réfléchissez bien à ce que dit l’illuminé Yuval Harari (6 minutes), la tête pensante de Klaus Schwab, lui-même l’immonde créature d’Henry Kissinger.
Ce n’est pas de la supposée intelligence artificielle dont l’humanité doit avoir peur, mais de ces parasites, que rien n’arrête.
Prendre la place de Dieu, c’est leur projet
Par les réalisateurs de "Died Suddenly" : "Final Days" expose l'élite scientifique et technologique et son désir de devenir des dieux. La pandémie de Covid était le test d'un complot encore plus sinistre à venir.